Entretien avec Margot, titulaire d’un Bachelor d’Arts, Double Major Political Sciences and International Development

Pourquoi as-tu choisi l’Université McGill pour tes études post-bac ?

McGill est une université anglo-saxonne au cœur d’une ville à caractère européen. C’est une université ouverte sur le monde, avec un système éducatif flexible qui autorise la découverte et l’autonomie. McGill c’est aussi une des rares universités qui a une vraie vie de campus, mais en plein cœur du centre-ville, donc le meilleur des deux mondes !

 

Quels ont été les aspects les plus faciles et les plus difficiles de ton installation pendant ton premier semestre ?

Le plus facile a été de s’immerger dans un monde universitaire excitant avec des associations pour tous les goûts, des profs à l’écoute, des conférences et compétitions sportives, des événements étudiants, voyages, galas… vraiment, on s’y perd tant les opportunités sont vastes. J’ai trouvé aussi l’intégration assez facile. McGill organise de nombreux événements pour nous permettre de rencontrer du monde, et puis il y a tellement d’étudiants qu’on rencontre forcément chaussure à son pied… !

Le plus difficile c’était de se sentir parfois un peu loin de la maison, de ma culture, dans un pays différent (bien qu’excitant), et de s’adapter à un nouveau système éducatif et l’autonomie de l’université. Et puis – le froid… Mais on s’y fait !

 

Quels sont les points forts d’une éducation canadienne ? Qu’as-tu apprécié dans ton cursus ?

Ouvert, curieux, excitant, souple, flexible, bienveillant.

Le vrai point fort de mes études au Canada c’est que je ne savais pas très bien ce que je voulais faire et le cursus autorise de prendre des cours un peu à la carte, avec ce qu’on appelle des ‘electives’ qui permettent d’élargir ses horizons et de découvrir de nouvelles disciplines. Beaucoup de mes amis ont commencé leurs études dans une matière pour finir par être diplômés dans une toute autre, cette flexibilité vous permet de changer de voie à tout moment.

 

As-tu adhéré à de nombreux clubs et/ou associations, sportifs ou autres ?

Oui, j’étais membre d’une association luttant contre le trafic de prostituées à Montréal, ainsi que d’une association en social business qui travaillait avec des universités étrangères. Par ce biais, j’ai organisé une grande conférence pendant l’été qui a accueilli plus de 150 personnes ! J’ai aussi participé à des compétitions en social business, et autres événements en lien avec la vie de campus. En sport, j’ai rejoint une équipe non-compétitive de volleyball !

 

L’Université McGill

 

Parle-nous de quelques-unes de tes traditions préférées à McGill 

Fresher’s week – ou ‘frosh’ comme nous l’appelons est l’un de mes meilleurs souvenirs. On y découvre la ville de Montréal, le campus. C’est à cette occasion que j’ai rencontré deux de mes meilleures amies, dont une avec qui je vis à présent en colocation à Londres.  Et je dois dire que c’est aussi très amusant de devenir soi-même intégrant, « frosh leader ». On fait découvrir le campus aux nouveaux, et puis on continue de faire la fête, mais cette fois avec de bons copains qu’on connait depuis un an.

Montréal, Canada

 

Enfin, quels conseils donnerais-tu à un étudiant français qui aspire à étudier à McGill ?

Lancez-vous ! Vous ne le regretterez pas. C’est la plus belle expérience qui m’ait été offerte. Sans McGill, je ne serais pas la même personne aujourd’hui – étudier dans un autre pays, très progressiste sur beaucoup de thématiques sociales, environnementales et économiques m’a vraiment ouvert les yeux. C’est grâce à cela que j’ai commencé à tracer la carrière que je mène aujourd’hui. Je travaille maintenant à Londres dans une ONG internationale en tant que journaliste d’enquête sur la lutte contre les conflits et la corruption liés aux ressources naturelles ainsi que contre les violations des droits environnementaux et des droits de l’homme qui y sont associés.

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Retraites : l’actualité éclairée par l’économie

Par David Colle, professeur d’économie en classe prépa HEC à IPESUP

« Faites l’amour, pas la guerre » entendait-on dans les années soixante. « Laissez faire Vénus, elle vous amènera Mars », affirmait plus tôt, le philosophe Henri Bergson craignant sans doute qu’une surpopulation ne raréfie des ressources et accroisse la compétition entre des nations pour en disposer. L’économiste, de son côté, éclaire depuis Malthus la manière dont l’espèce humaine tente de surmonter ces contraintes et propose des moyens d’y faire face. Mais loin des bruits du court ou moyen terme – dérèglements financiers, chômage, inégalités – un phénomène caractéristique des sociétés industrielles avance de moins en moins masqué, lentement, qui faisait craindre dès 1939 à Alvin Hansen une stagnation séculaire : le vieillissement de la population. Au delà d’un âge médian qui « file » vers 45 ans en France comme en moyenne dans l’OCDE, c’est-à-dire plus de 5 ans de plus qu’aujourd’hui – il n’est que de 20 ans en Afrique –, c’est l’accroissement significatif de la part de la population âgée de plus de 60 ans ou 65 ans qui inquiète.

Progrès social et coût social : espérance de vie et vieillissement

La raison principale en est une espérance de vie qui a augmenté dans d’importantes proportions ces trente dernières années. Après avoir doublé en France en un siècle depuis la fin du XIXème, l’espérance de vie à la naissance atteint environ 79 ans à la naissance pour les hommes et 85 ans pour les femmes.

Mais l’espérance de vie à la naissance diffère de l’espérance à un âge donné, tardif notamment. Plus on « avance » en âge, plus l’espérance de dépasser cette espérance à la naissance augmente. Ainsi, à 80 ans, il reste à un homme plus de sept ans d’espérance de vie et à une femme près de 10 ans et les hommes sont sur ce point en train de regagner de l’espérance de vie-illesse. En 2070, il devrait rester aux hommes comme aux femmes 30 ans d’espérance de vie un fois atteint l’âge de 60 ans.

La « charge » des inactifs retraités

On peut bien sûr y voir le symbole d’un grand progrès social, mais l’espérance de vie en bonne santé semble ne plus augmenter voire régresser. Mais ce progrès a sa contrepartie économique : cette espérance de vie croissante élève le poids des inactifs dans la population totale. En effet, l’âge importe moins que le fait d’être « inactif », en termes de contribution par le travail à la production de richesse, de biens et de services pouvant être acquis par la population d’un pays. Il en va de même des jeunes étudiants encore inactifs, à la différence près qu’ils contribueront à la richesse produite dans le futur alors que les vieux inactifs ne le feront plus.

Ces deux parties de la population contribuent évidemment indirectement à la richesse produite, par les dépenses éducatives, en termes de santé, en innovations possibles (silver economy) et peuvent bien sûr constituer en eux-mêmes une richesse pour un pays. Les inactifs contribuent à l’emploi et à faire que des revenus existent. Ceci mérite d’être rappelé mais ce n’est pas le propos.

Ne contribuant pas en un instant t ou une période, leur niveau de vie et de revenu au cours de cette période dépend fatalement de ce que les actifs produisent. En effet, que ces retraites soient fondées sur ce qu’ils ont épargné de manière libre ou imposée, de manière privée (système par capitalisation) ou de manière socialisée (système par répartition), le problème n’est pas si différent : soit les retraites sont versées grâce au rendement des titres dans lesquels ont été placées, par des fonds, les sommes épargnées, soit elles le sont par des charges prélevées sur le revenu des actifs dans une solidarité intergénérationnelle. Mais les revenus des titres dépendent eux-mêmes, sur le long terme, de la croissance du revenu national, sauf à compter sur le fait que des retraites soient financées par des bulles financières.

À laquelle s’ajoute la « charge » des inactifs jeunes

Le problème de la part des inactifs est encore aggravé par une entrée dans la vie active de plus en plus tardive des inactifs « jeunes » liée à l’allongement de la durée des études. En trente ans, c’est en moyenne 5 années supplémentaires qui ont porté l’âge moyen d’entrée dans la vie active d’environ 18 à 23 ans. Là encore, ce peut être un bon signe en terme de capital humain. Mais il ne suffit pas que la durée s’allonge pour élever une productivité dont on va voir ci-dessous l’importance pour le financement du système de retraites.

S’il ne devait être que le fait d’une inflation des diplômes et n’assurant pas une élévation de la productivité donc des revenus, cet allongement aurait lui aussi son revers : avec l’augmentation du le poids des inactifs « jeunes », le nombre d’actifs jeunes se réduit alors qu’il faut dans le même temps financer le revenu des inactifs « âgés ».

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Les étapes clés de l’inscription aux concours des écoles de commerce post-bac

Les concours d’entrée, Sésame et Accès, aux écoles de commerce post bac (IESEG, ESSCA, BBA ESSEC…) rejoignent Parcoursup cette année, les étapes d’inscription suivent donc ce calendrier :

Le calendrier des inscriptions 

Du 20 décembre au 21 janvier 2020 : ouverture du site pour vous permettre de vous informer sur les différents programmes et écoles et de faire vos pré-sélections.

  • Cliquer sur le lien ci-dessous pour accéder à la liste des formations sur Parcoursup
  • Puis taper « Concours Sésame » ou « Concours Accès » pour accéder à la liste des programmes/ écoles et aux fiches d’information

Accéder à la liste des formations >

Du 22 janvier au 12 mars 2020 : ouverture des inscriptions sur Parcoursup

  • Sur Parcoursup, vous pouvez choisir autant de programmes d’écoles membres des concours Sésame et Accès que souhaités.
  • Ceux-ci ne forment au total qu’un seul voeu Sésame ou Accès sur les 10 proposés/
  • Inscription obligatoire sur son espace personnel :

 

    Du 12 mars au 2 avril 2020 : confirmation d’inscription Parcoursup

    • Téléchargement de la convocation aux épreuves écrites sur l’espace personnel de chaque candidat
    • Jusqu’au 7 avril 2020 pour le Concours Sésame
    • Jusqu’au 9 avril 2020 pour le Concours Accès

    Les épreuves écrites

    Deux concours, deux dates, des modalités comparables mais des différences importantes dans le détail !

    Concours SésameConcours Accès
    8 avril 2020

    Langues (2 langues dont l’anglais) :

    • 2h
    • 40 QCM par langue
    • Orthographe, grammaire et culture

    Raisonnement et compétences :

    • 1h
    • 3 fois 15 QCM en logique générale, aptitudes numériques (mathématiques) et aptitudes verbales (français)

    Analyse documentaire :

    • 2h
    • 20 QCM de recherche d’informations et reconstitutions de synthèse

    Connaissance des enjeux contemporains :

    • 1h
    • 40 QCM d’actualité des enjeux du monde (géopolitique, société, technologie, climat…) sur les 18 derniers mois
      9 avril 2020

      Anglais :

      • 45 minutes
      • 40 QCM de grammaire, vocabulaire et compréhension

      Raisonnement logique et mathématiques :

      • 3h
      • 3 fois 5 QCM en raisonnement logique, raisonnement mathématiques et problème mathématique

      Synthèse :

      • 3h
      • Rédaction d’une synthèse en 350 mots d’un ensemble de documents thématiques

      Ouverture culturelle :

      • 45 minutes
      • 65 QCM
      • Histoire, géographie, mythes et religions
      • Idées, sciences et techniques
      • Politique, économie, société
      • Art, loisirs, médias

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         


        Les épreuves orales :

        Jeudi 16 avril 2020 les candidat retenus par chaque école à l’issue des épreuves écrites seront convoqués pour venir passer des épreuves orales (entretiens de motivation et de langue) :

        • entre le 17 avril et le 6 mai 2020 pour les écoles du concours Sésame
        • entre le 22 et le 30 avril 2020 pour les écoles du concours Accès

        Les admissions :

        A partir du 19 mai 2020 les résultats d’admission par école sont publiés sur Parcoursup et les candidats choisissent leur école en fonction de leur classement (jusqu’au 17 juillet)


        S’informer :

        Pour découvrir en détail les spécificités de chaque concours et la meilleur manière de s’y préparer, venez nous rencontrer lors de nos réunions d’informations :

        S’inscrire à une réunion d’information > Découvrez notre formation >


         



        Comment rejoindre une Grande université américaine ?

        L’Ivy League est un groupe d’universités américaines d’élite – l’équivalent ici serait les Grandes Ecoles. Tout comme le Russel Group au Royaume-Uni (un groupe similaire mais légèrement moins prestigieux), il existe quelques exceptions notables : des universités tout aussi prestigieuses que Harvard et Yale, et tout aussi difficiles à intégrer, mais qui ne font pas partie du « club ». Le MIT est l’une de ces exceptions.

        Pour être accepté dans l’une des Ivies, il faut être intelligent, avoir une éthique du travail incroyable, de la détermination et quelque chose de « plus » qui vous aide à vous démarquer en tant qu’individu – une histoire familiale particulièrement hors de l’ordinaire, des expériences peri-scolaires telles que des projets humanitaires étonnants témoignant de fortes capacités de leadership et d’initiative, des prix et des récompenses dans des concours nationaux.

        Sur quoi se base la sélection ?

        • Les résultats du SAT et de l’ACT

        A titre d’exemple, l’université de Harvard exige un score composite moyen de 1520 au SAT, mais sachez que pour vraiment se démarquer, il faudrait viser 1580. Si votre dossier est exceptionnel dans d’autres domaines (performances sportives par exemple), il sera susceptible d’être examiné avec un SAT de 1460.

        • Les bulletins de lycée 

        Toutes les écoles vont les scruter, tout en prenant en compte un aperçu de la rigueur du cursus dans votre lycée. Il faut maintenir un GPA de 4,18 minimum, soit un bon 17/20. 

        Enfin, n’oubliez pas les lettres de référence et votre Personal Statement ou essai, qui doivent bien évidemment être exceptionnels.

        C’est un projet exigeant et de long terme, qui doit faire l’objet d’une réflexion au moins dix-huit mois en amont, mais qui peut offrir d’immenses récompenses. Les grandes écoles aux Etats-Unis restent très cotées en raison de la qualité de l’enseignement et des infrastructures, de leur prestige mondial, et de la flexibilité du modèle d’enseignement Liberal Arts. Bien plus qu’une simple envie personnelle, postuler aux USA relève d’un projet éducatif stratégique, réfléchi, bien préparé. C’est un défi passionnant et qui fait rêver !

         

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        Classements SIGEM 2019 et 2018 des admissions aux Grandes Écoles de Commerce

        Les tableaux suivant détaillent les statistiques des admissions des derniers concours sur classes préparatoires économiques et commerciales.
        Certains chiffres de certaines écoles peuvent voir des modifications notables lorsque, par exemple, elles changent de banque d’épreuves écrites.

        Il est important de rappeler que la sélectivité, contrairement à une idée couramment répandue – mais fausse – ne se calcule pas en effectuant le rapport entre le nombre d’intégrés et celui des inscrits, mais le rapport entre le Rang du dernier intégré (affecté) sur le nombre d’inscrits.

         

         Concours 2019Inscrits   Admiss.Intégrés
        Rg dernier intégré
         Nb de places  
        Séléctivité 
         Banque BCE
         Audencia79393285495192249024.21 %
         Brest BS144612902119308.23 %
         Burgundy SB (Dijon)31022430255111625035.98 %
         EDHEC BS73342311525139352019.99 %
         EM Lyon BS72342029545152754021.11 %
         ESCP Europe59501361400105439517.71 %
         ESSEC584391342075342012.89 %
         Grenoble EM73193655505231150031.58 %
         Groupe ESC Clermont19781937363567018.00 %
         HEC Paris52487423974014007.64 %
         ICN BS2410205521790725537.63 %
         INSEEC BS2397200798106427044.39 %
         ISG International BS14981285142185014.55 %
         SKEMA BS75864294535175053023.07 %
         Télécom EM2596196417573117028.16 %
         Toulouse BS61813602380195037531.55 %
         EM Normandie23901906886688527.95 %
         ESC La Rochelle235518818457911024.59 %
         Groupe ESC Pau16531486182807519.94 %
         South Champ. BS (Troyes)14751297142415516.34 %
         ISC Paris BS200118167568512534.23 %
         EM Strasbourg BS5781
        5781
        4505231178725530.91 %
         ESC Rennes3882310165630528.65 %
         Montpellier BS 57813806265176426030.51 %
         Banque Ecricome
         KEDGE BS76605275575306557040.01 %
         Néoma BS76604501694215769028.16 %
         KEDGE BS BEL B/L501481301653032.93 %
         Néoma BS BEL B/S501430761827536.33 %

         

         Concours 2018Inscrits   Admiss.Intégrés
        Rg dernier intégré
         Nb de places  
        Séléctivité 
         Banque BCE
         Audencia BS82173281485182248022,17 %
         Brest BS16181448111623010,01 %
         Burgundy SB (Dijon)30952472255100125032,34 %
         EDHEC BS72692503525144952019,93 %
         EM Lyon BS72872143525127952017,55 %
         ESCP Europe5999136037596637016,10 %
         ESSEC BS577589340068868811,91 %
         Grenoble EM78393412495226749028,92 %
         Groupe ESC Clermont30812697364056013,15 %
         HEC Paris51517413733823807,42 %
         ICN BS27602417244104426537,83 %
         IMT Télécom EM2709183015559515021,96 %
         INSEEC BS25752155151119327046,33 %
         ISG International BS17611488223167017,94 %
         SKEMA BS76264307535167553021,96 %
         Toulouse BS72063102323196941527,32 %
         EM Normandie30812452806368020,64 %
         ESC La Rochelle3081236611059210519,21 %
         Groupe ESC Pau20181819753567017,64 %
         South Champagne Troyes30812736244235513,73 %
         ISC Paris BS3081271411186615028,11 %
         EM Strasbourg BS4606260169425528,28 %
         ESC Rennes59903625310173930529,03 %
         Montpellier BS3835265159726026,66 %
         
         Banque Ecricome
         KEDGE BS77435252575274957035,50 %
         Néoma BS77434434694203269026,24 %
         KEDGE BS BEL B/L511465301813035,42 %
         Néoma BS BEL B/S511437762137541,68 %

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        Pour vous placer dans les meilleures conditions, sans pour autant vous stresser ou vous fatiguer, nous vous proposons une formule « touche finale » qui repose sur une préparation de cinq jours. Elle consiste en des séances d’exercices et de mises au point sur quelques thèmes majeurs du programme à forte probabilité dans les trois matières de l’IEP Paris : histoire, option et anglais.

        Une petite semaine pour parfaire les méthodes et revenir à l’essentiel après une longue période de révision !

        Repères pratiques
        Pour qui Élèves de Terminale
        Cours5 jours de préparations et d’exercices 24h au total

        • 10h d’histoire
        • 8h d’option
        • 6h d’anglais 
        DateDu dimanche 16 février au jeudi 20 février 2020
        LieuPREPASUP 16bis rue de l’Estrapade 75005 Paris
        Tarif570€

        Télécharger la fiche d’inscription papier



      • Révisez Sciences Po Paris : stage "Touche Finale"
      • ENA 2019 : 47,5 % des admis passés par IPESUP

        En 2019, les résultats record d’IPESUP se confirment avec, cette année, 19 admis au concours externe de l’ENA – sur 40 places au niveau national !

        19 au concours externe de l’ENA 2019 : 47,5 % des admis ont suivi la Prép’ENA d’IPESUP !

        Avec une rigueur métronomique depuis 3 ans consécutivement, l’IPESUP accompagne vers la réussite 30 admissibles au concours externe de l’ENA.

        Le verdict des oraux est tombé et ce sont finalement 19 admis au concours externe de l’ENA qui auront suivi la préparation d’IPESUP ! Ainsi en 2019, 47,5 % des admis en France au concours externe de l’ENA seront passés par les bancs d’IPESUP pour réussir leurs épreuves écrites et orales. C’est presque la moitié de la nouvelle promotion de l’école nationale d’administration.

        Ces résultats très solides prolongent des admissibilités et des admissions qui progressent de 30 à 40% à l’EHESP ou à l’INET.

        IPESUP s’affirme une nouvelle fois comme une préparation d’excellence pour réussir ce concours particulièrement sélectif de l’enseignement supérieur français, et plus généralement les concours administratifs les plus sélectifs de catégorie « A+ » (ENA, EHESP, INET et Banque de France).

        Et déjà 1 admis (sur 2 admissibles) pour 3 postes au nouveau concours des docteurs

        Jusqu’à l’édition 2018, trois voies d’admission permettraient d’entrer à l’ENA :

        • le concours externe, ouvert à tous, mobilisant des épreuves écrites académiques
        • le concours interne, réservé aux agents administratifs, comportant des épreuves plus opérationnelles (synthèses de documents sur la base d’un dossier)
        • le « troisième concours« , destiné aux personnes disposant d’une solide expérience professionnelle

        IPESUP, un temps d’avance

        En 2019, l’ENA décidait d’ouvrir pour la première fois un « concours externe spécial » réservé aux docteurs. L’IPESUP créait rapidement une préparation sur-mesure (ena.france@mail.com) pour accompagner les docteurs vers la réussite à ce nouveau concours.

        Le succès de cette préparation peut déjà être salué puisque l’IPESUP aura contribué à pourvoir 1 des 3 postes mis au concours.

        La réforme de la prep’ENA d’IPESUP : un véritable succès au service de nos étudiants

        Depuis plus de 15 ans, la Prép’ENA d’IPESUP rassemble autour d’elle des candidats brillants, une équipe de professeurs remarquable et une direction pédagogique dévouée.

        Retour sur la réforme de la Prép’ENA en 2018

        La réforme de notre Prép’ENA, engagée dès début 2018 par Bertrand Leonard, avait permis de poursuivre l’œuvre des fondateurs Gérard Larguier et Patrick Noël en adaptant l’enseignement et la maquette pédagogique aux nouveaux besoins des élèves. 6 items marquaient l’évolution de la Prép’ENA :

        • une équipe pédagogique renouvelée et mixte avec 2/3 d’énarques et 1/3 d’académiques, sous la direction de professeurs remarquables
        • la mise en place d’un système de parrainage avec un parrain élève ou ancien élève de l’ENA pour chaque étudiant
        • la mise en ligne d’une nouvelle plateforme pédagogique digitale avec des ressources pédagogiques de très haut niveau, notamment des corrigés complets et des copies authentiques (de bonnes à très bonnes)
        • un nombre de galops proposés triplé
        • l’ouverture de deux modules, pour une meilleure répartition des galops sur l’année
        • des corrigés rapides et efficaces des sujets, en moins d’une semaine

        Sous cette impulsion décisive, les résultats record d’IPESUP de 2016 et 2017 se confirmaient à l’automne 2018 avec 30 admissibles. 17 candidats furent finalement admis fin novembre, marquant un taux de transformation record entre l’admissibilité et l’admission (56 %, au-dessus de la moyenne nationale de 42 %).

        Une édition 2019 particulièrement riche en contenus pédagogiques

        Olivier NAFISSI, directeur de notre Prép’ENA, a enrichi l’offre de nouveaux outils, en particulier d’un suivi pédagogique très détaillé de chaque étudiant.

        Près de 100 heures de cours et 80 heures de corrigé ont été dispensées par nos intervenants cet été. Pas moins de 19 000 pages ont été lues en l’espace de 11 semaines. Les copies corrigées ont été restituées en-deçà de 7 jours, de façon à être disponibles avant d’assister au cours du concepteur du sujet. Plusieurs rythmes de composition ont été pratiqués, galops à la suite en une semaine, ou différés sur deux semaines et demi, composés en présentiel aussi bien qu’à distance.

        La Prép’ENA d’IPESUP a ainsi su maintenir excellence académique et pédagogique, tout en apportant à chaque étudiant une attention individualisée. Le numérique a été pensé comme un outil au service de la pédagogie et de nos élèves.

        Des résultats encore plus remarquables pour nos élèves les plus assidus aux écrits

        Il est notable que nos élèves les plus sérieux et assidus, c’est-à-dire ayant assisté à tous les galops du dernier concours blanc, ont, pour 68 % d’entre eux été admissibles à l’ENA, représentant 21 admissibles sur les 30 admissibles de notre promotion 2019. Cela démontre s’il en était encore besoin l’utilité des cours et des galops jusqu’au « dernier jour » de la préparation.

        IPESUP : un taux de transformation admis / admissibles record

        Le taux de transformation du concours 2019 (admissibles/admis) est de 44% environ, celui d’IPESUP se situe autour de 64%. Qu’il s’agisse des écrits comme des oraux, IPESUP s’affirme année après année comme la meilleure préparation privée au concours externe de l’école nationale d’administration.

        Les avantages de notre prépa :

        – Les copies sont corrigées via une plateforme numérisée. Ainsi, les copies sont visibles avant la correction en présentiel et très souvent avant J+7
        – Une flexibilité hors-norme de l’emploi du temps
        – Une administration à votre écoute ; un suivi personnalisé des oraux



        Avec la réforme du lycée, les mathématiques sont dorénavant enseignées comme une spécialité. Mais, pour certains élèves, le programme est trop difficile. Que faire ?

        Notre constat

        Il est indéniable qu’un grand fossé apparait, maintenant bien plus que dans l’ancien système, entre les mathématiques de Seconde et les exigences de la spécialité de Première.

        Il importe d’identifier deux problèmes :

        • le premier lié au contenu du programme,
        • le deuxième au profil des élèves qui ont choisi l’Enseignement de spécialité Mathématiques.

        Le programme

        Chapitres :

        • ALG1 :  Suites : généralités
        • ALG2 :  Suites arithmétiques, suites géométriques
        • ALG3 :  Equations, fonctions polynômes du 2d degré
        • AN1 :    Dérivation
        • AN2 :    Variations et courbes représentatives des fonctions
        • AN3 :    Fonction exponentielle
        • AN4 :    Fonctions trigonométriques
        • G1 :      Calcul vectoriel, produit scalaire
        • G2 :      Application du produit scalaire
        • G3 :      Géométrie repérée (éq. de droite, de cercle, paraboles)
        • P1 :      Proba conditionnelle, indépendance
        • P2 :      Variables aléatoire réelles
        • P3 :      Expérimentations

        Les notions au programme sont celles de l’ancienne première S avec trois différences notables, deux dans le contenu et une dans la forme de l’enseignement.

        Lapparition de la fonction exponentielle : jusqu’ici enseignée en Terminale (S et ES), elle passe au programme de Première. Elle ne présente pas de grosses difficultés, mais c’est un chapitre d’une importance cruciale qui vient s’ajouter à un programme déjà lourd.

        Le grand retour de la trigonométrie : c’est une des bêtes noires des élèves, car elle demande de connaître beaucoup de formules et de savoir vraiment calculer, et elle engendre des exercices auxquels la calculatrice n’apporte que peu de secours.

        Enfin, le formalisme logico-mathématique, souvent vu comme un mur infranchissable par nombre d’élèves, et qui avait été gommé des anciens programmes pour éviter les découragements précoces, redevient primordial. En clair, la rédaction approximative des copies, tolérée ces dernières années, est maintenant lourdement sanctionnée (ou le sera de plus en plus). Les mathématiques, en effet, sont aussi une langue avec une syntaxe très précise, une rédaction rigoureuse et une méthode très stricte. Le formalisme, est, qu’on le veuille ou non, un prérequis indispensable à un enseignement solide des mathématiques. Rien de surprenant, finalement, à ce qu’il soit remis en avant, même s’il représente un pas difficile à franchir pour beaucoup.

        Le profil des candidats

        L’unification de l’enseignement des mathématiques en Première dans la spécialité rassemble dans un même groupe des anciens S et des anciens ES. La difficulté pour des élèves qui se seraient naturellement dirigés vers une voie ES dans l’ancien système est qu’ils n’ont pas encore le niveau attendu pour répondre aux attentes des programmes.

        Ancien programme TES :

        1. les pourcentages
        2. les équations du 2nd degré
        3. les fonctions dérivées
        4. les études de fonction
        5. les suites numériques
        6. un peu de probabilités
        7. des statistiques
        8. la loi binomiale

        Nouveau programme Enseignement de Spécialité Mathématiques :

        1. les pourcentages
        2. les équations du 2nd degré
        3. les fonctions dérivées
        4. les études de fonction
        5. les suites numériques
        6. un peu de probabilités
        7. des statistiques
        8. la loi binomiale

        Et depuis 2020 :

        • la géométrie
        • les fonctions trigonométriques 
        • la fonction exponentielle
        • les calculs vectoriels
        • les produits scalaires
        • la programmation en langage python

        L’ancien programme de ES se gardait bien d’introduire trop de formalisme et les notions abstraites étaient immédiatement étayées d’applications simples au domaine économique. Il est maintenant exigé de tous la même maîtrise de l’outil mathématique dans toute sa complexité. En particulier, les cours de géométrie vectorielle et de trigonométrie, aux faibles applications économiques et qui nécessitent un vrai sens de l’abstraction, risquent de rebuter, voire de mettre en échec, la majorité de ceux qui n’ont pas un profil scientifique affirmé. Idem pour l’aspect très calculatoire du programme, qui demandera un gros travail à ceux qui n’ont pas particulièrement de facilité en mathématiques.

        Au total, beaucoup d’élèves qui ont pris la spécialité Maths de Première pour pouvoir poursuivre des études post-bac se retrouvent face à des programmes qui sont conçus pour des élèves qui voudraient faire des études scientifiques.

        Notre analyse

        Il serait incohérent, pour un élève qui a besoin des Mathématiques après le Bac, d’arrêter sa spécialité pendant l’année de Terminale !

        Certes, il pourra lui être conseillé d’abandonner la spécialité pour prendre l’option « Maths complémentaires ». Mais une analyse plus approfondie révèle, qu’avec 3 heures au lieu de 6, les élèves devront couvrir 9 thèmes, à raison de 2 à 4 semaines par thème (6h à 12h). Si l’on prend le premier thème à titre d’exemple : »Modèles définis par une fonction d’une variable », celui-ci englobe : résolutions d’équation, continuité (et donc les limites), TVI, dérivée, sens de variation, extremums, fonctions de référence, convexité, statistiques à deux variables, études de variations, optimisation, algorithme. Bref, 13 notions en 6h-12h, c’est-à-dire 28 à 55 minutes par notion. Les formations sérieuses du supérieur ayant vraiment besoin des maths ne vont pas s’en contenter…

        Si, donc, un élève a besoin des maths après le bac, il n’y a d’autre solution que de le préparer à suivre au mieux cette année et l’an prochain.

        Nos propositions

        • Taille des groupes : nous proposons des stages en petits groupes (moins de 20 élèves), afin de favoriser le travail individuel (chacun travaille à son rythme) avec plus d’accompagnement du professeur (individualiser les réponses à apporter à chacun)
        • Groupes de niveau :

        un enseignement de « maths classiques », pour revenir sur la maîtrise des fondamentaux (calcul algébrique, suites, étude de fonctions, probabilités, par exemple), afin de surmonter les difficultés rencontrées …

        et un enseignement de « mathématiques avancées », pour accompagner ceux qui souhaitent perfectionner leur raisonnement au travers d’exercices plus approfondis (calcul algébrique axé sur des problèmes et des mises en équation, tout sur les suites, variation de fonction et exponentielle, vecteurs et probabilités, à titre d’exemple).

        • Adaptabilité pédagogique du programme : grâce à nos professeurs experts tant en aval, car même des parties du programme déjà vues en classe doivent être parfaitement maîtrisées pour la Terminale, qu’en amont, car traiter par anticipation des notions nouvelles se révèlera un atout précieux lorsqu’elles seront abordées en cours.

         

        La maitrise du programme de mathématiques est un pré-requis essentiel à l’admission et à la réussite au sein de plusieurs filières majeures du supérieur (prépa scientifiques, écoles de commerce, études de santé…).

        Pour y parvenir, découvrez, dès Noël, nos stages : « maths classiques » ou « mathématiques avancées », en petits groupes, pour réviser et consolider, pour maîtriser et anticiper. C’est maintenant qu’il faut faire l’effort pour les meilleurs résultats.

        Rejoignez nos stages intensifs dès Noël



      • Nouveau bac: le fossé se creuse en mathématiques pour les élèves de Première