C’est avec une très grande tristesse, que nous avons appris en ce début de semaine, le décès de Gérard Larguier.

Gérard était un des deux pères fondateurs de l’Ipesup, qu’il a créé, il y a presque 50 ans

L’Ipesup était au cœur de sa vie et c’est son engagement exceptionnel, son esprit d’entrepreneur, sa détermination, sa personnalité très attachante, son rayonnement qui ont fait de l’Ipesup l’institution reconnue et prestigieuse qu’elle est aujourd’hui.

Il y a quelques années, il avait décidé de quitter la direction du Groupe.

Il avait alors fait preuve d’une extrême bienveillance, d’une grande générosité de temps et de cœur.

Il s’agissait que je connaisse les moindres arcanes de l’institution et que je saisisse toutes les subtilités d’un système de valeurs tourné vers l’excellence.

Jusqu’à ses derniers jours, il était resté très attaché à l’Ipesup, toujours prêt à aider, à partager son expérience, et même tout récemment encore, à faire en sorte que nos élèves dans la cour de Notre-Dame, soient bien tolérés par les copropriétaires de l’immeuble !

Merci Gérard, un immense merci à toi Gérard !

Avec toute mon affection et mes pensées pour sa famille et ses proches…


Bertrand LEONARD

Président – Groupe IPESUP



  • Notre compagnon de route, Gérard Larguier
  • Bac de français 2023 : Sujets et corrigés

    Le Baccalauréat, point culminant de la scolarité au lycée, représente une étape déterminante dans la vie des élèves. Chaque année, des milliers de candidats se préparent avec ardeur et anxiété à affronter les épreuves qui détermineront leur avenir académique. Parmi les épreuves les plus redoutées figure celle de Français qui demande une compréhension approfondie des concepts et des compétences spécifiques.

    Elèves en classe de Première : Ipesup vous propose de retrouver sur cette page, les sujets et les corrigés de l’épreuve écrite du Baccalauréat de français.

    Avez-vous bien compris et analysé le corpus de textes ? Votre rédaction est-elle une réussite ?

    Les corrigés des épreuves du Baccalauréat de français 2023 vous sont dès à présent proposés.

     


    Sujets et corrigés

    Les sujets du Baccalauréat de français 2023 sont tombés ! Retrouvez les intitulés ci-dessous.

     

    1- Commentaire de texte

    Objet d’étude : La littérature d’idées du XVIe siècle au XVille siècle

    Retrouvez le corrigé ! (disponible)

     

    2- Dissertation

    Sujet A

    Le plaisir de lire Manon Lescaut ne tient-il qu’au récit d’une passion amoureuse ?

    Retrouvez le corrigé ! (disponible)

     

    Sujet B

    Peut-on lire La Peau de chagrin comme le tableau d’un monde exténué ?

    Retrouvez le corrigé ! (disponible)

     

    Sujet C

    Peut-on considérer Sido et Les Vrilles de la vigne comme des œuvres de l’émerveillement ? 

    Retrouvez le corrigé ! (disponible)

     

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    Baccalauréat de français 2023 : Comment préparer efficacement l’épreuve orale ?

    Elèves de Première générale ou parents d’élèves, vous vous demandez comment préparer l’oral de français efficacement ? Marie, enseignante agrégée, vous propose des pistes de travail.

     

    Pour certains élèves, mais plus encore pour leurs parents, le format de l’oral reste souvent un peu mystérieux : en quoi consiste exactement l’épreuve orale de français aujourd’hui ?

    L’oral de français a lieu fin juin-début juillet et consiste en une épreuve de 20 minutes, divisée en trois exercices : l’explication d’un texte étudié en classe pendant l’année (10 minutes – 10 points), le traitement d’une notion de grammaire appliquée à un passage du texte (2 minutes – 2 points), et la présentation d’une œuvre choisie par l’élève, en lien avec les œuvres étudiées pendant l’année et leurs parcours associés, présentation qui doit aboutir à un dialogue entre le/la candidat(e) et l’examinateur ou l’examinatrice (8 minutes – 8 points). Cette épreuve est précédée de 30 minutes de préparation, au cours desquelles les élèves n’ont droit qu’à leur texte vierge et à un brouillon dont ils disposent ensuite lors de l’exposé.

     

    Des qualités particulières sont-elles attendues pour réussir cet oral ?

    Tout d’abord, il faut évidemment avoir une attitude sérieuse et adéquate : porter une tenue correcte, apporter les documents exigés (sa convocation et sa pièce d’identité, la liste des textes étudiés pendant l’année, tous ses textes vierges, non annotés et classés dans l’ordre, en double exemplaire, dans un classeur spécifique), être ponctuel et poli…

    Bien sûr, il est aussi très important d’avoir une bonne expression orale, c’est-à-dire un vocabulaire adapté et précis, ni trop familier ni trop général, une élocution claire, un débit agréable, c’est-à-dire ni trop rapide, ni trop hésitant etc. Certains élèves sont naturellement à l’aise à l’oral et sont donc avantagés, mais on peut progresser facilement en s’entrainant régulièrement. Par exemple, il peut se révéler très utile de s’enregistrer sur son téléphone ou de se filmer en se faisant soi-même passer une sorte d’oral blanc. C’est assez désagréable, mais cela permet de prendre rapidement conscience de ses défauts (élocution trop rapide, euh.. appuyés à chaque fin de phrase, tics langagiers : « du coup », « donc », « et »…) afin de les corriger.

    Enfin, on attend des candidats qu’ils soient réactifs lors de la phase de dialogue et d’entretien : on veut voir s’ils sont capables de prendre en compte les remarques qui leur sont faites, d’argumenter ou de nuancer un point de vue, de rebondir sur une question invitant à étayer la discussion… Il faut éviter absolument de se montrer à court d’idée et de répéter « je ne sais pas », ou de se contenter d’affirmer qu’on a trouvé ce livre « très intéressant » sans justifier son opinion. On peut s’entraîner à cet exercice en discutant simplement avec ses ami(e)s ou ses proches.

    Mais en dehors de ces qualités, plus ou moins naturelles et toujours perfectibles avec de l’entrainement, la réussite de l’oral dépend surtout du travail fourni par l’élève. Depuis la réforme, le candidat ou la candidate a en effet toutes les cartes en main pour préparer très solidement l’épreuve et minimiser ainsi les risques d’échecs dans les trois exercices.

     

    Comment préparer au mieux la première partie de l’épreuve, l’explication linéaire ?

    L’explication linéaire porte sur un texte étudié en classe avec le/la professeur(e) : soit il est extrait de l’œuvre intégrale étudiée, soit tiré d’une œuvre qui correspond à la thématique du parcours associé à cette œuvre. Par exemple, si l’élève étudie en classe La Peau de Chagrin, les textes appartenant au genre du roman seront soit tirés de cette œuvre de Balzac (3 textes), soit tirés d’un autre roman que le professeur aura jugé correspondre au parcours « Romans de l’énergie : création et destruction » (2 textes). Une écoute attentive et une participation soutenue en classe doivent donc permettre, après l’étude de cet extrait, d’obtenir une étude linéaire complète. L’élève peut aussi refaire une synthèse si cela lui paraît utile, afin d’avoir une « fiche » claire à apprendre par cœur. Celle-ci doit à la fois comporter une introduction efficace présentant l’œuvre, l’auteur, l’extrait, le contexte d’écriture, le thème du passage, annonçant les mouvements du texte (le plan) et indiquant la problématique ; des analyses précises (figures de style, ponctuation, temps verbaux, champs lexicaux, rythme…) démontrant l’idée indiquée dans le titre de chaque mouvement et nourrissant l’explication ; et une conclusion claire, récapitulant la démonstration et contenant si possible une ouverture. À la fin de l’année, si l’élève connait parfaitement ces 20 explications il/elle aura toutes les chances de réussir la première partie, notée sur dix points.

    Pour vérifier sa maîtrise de l’extrait, on peut s’entraîner à partir du texte vierge, en se laissant une quinzaine de minutes de préparation pour l’annoter et indiquer au brouillon ses idées principales, puis « improviser » cette explication en se filmant. Cela permet de vérifier d’une part qu’on respecte le temps imparti (10 minutes), que l’on ne parle ni trop longtemps ni trop peu, et d’autre part que son explication est à la fois claire et intéressante, c’est-à-dire qu’il ne s’agit ni d’une reformulation générale et vague ne s’appuyant sur aucune analyse, ni au contraire d’un catalogue de procédés (vers 1 : métaphore, vers 2 : chiasme, vers 3 : allitération…) qui serait sans intérêt s’il ne permettait pas de démontrer quelque chose sur le texte et de servir une interprétation.

    Enfin, il faut s’entrainer en même temps à bien lire le texte, en respectant la ponctuation, les liaisons, le rythme du vers dans le cas de la poésie, les intonations particulières pour des textes de théâtre etc. La lecture fait partie de l’évaluation : il est donc très important de la préparer, car l’improviser est très difficile.

     

     

    Qu’en est-il ensuite de la « question de grammaire » ?

    La « question de grammaire » est notée sur deux points et dure 2 minutes environ. L’examinateur ou l’examinatrice demande au candidat ou à la candidate de traiter une des notions de grammaire au programme de Première (l’interrogation, la négation, les subordonnées circonstancielles) ou de Seconde (les accords entre le sujet et le verbe, les valeurs verbales, les relations au sein de la phrase complexe, les subordonnées relatives) à partir d’une phrase tirée du texte commenté dans la première partie de l’épreuve. On pourrait par exemple demander d’étudier la négation dans cette phrase tirée des Caractères de La Bruyère : « On ne tarit point sur les Pamphiles : ils sont bas et timides devant les princes et les ministres ; pleins de hauteur et de confiance avec ceux qui n’ont que de la vertu ; muets et embarrassés avec les savants ; vifs, hardis et décisifs avec ceux qui ne savent rien. » 30 minutes de préparation étant accordées aux candidats, ceux-ci ont le temps d’effectuer cette analyse.

    Là encore, il importe d’être concentré(e) en classe pendant les deux années de lycée et de bien réviser toutes les notions. Il faut maîtriser le vocabulaire technique et les spécificités de chaque catégorie grammaticale (par exemple dans le cas de la négation, savoir mobiliser les catégories de corrélation, de négation totale ou partielle, lexicale ou syntaxique, savoir distinguer un adverbe de négation d’un déterminant ou d’un pronom négatif…) Tout cela ne s’improvise pas : il faut apprendre et s’entraîner !

     

    Nous arrivons à la dernière partie de l’oral : l’entretien. Comme il s’agit d’un dialogue avec l’examinateur ou l’examinatrice, j’imagine que cet exercice se prépare beaucoup moins ?

    Au contraire ! Cet exercice, évalué sur 8 points, dure 8 minutes environ. D’abord, l’élève présente une œuvre de son choix parmi l’une des quatre œuvres intégrales étudiées pendant l’année, ou parmi l’une des œuvres proposées par le/la professeur(e) en lien avec le parcours associé à l’œuvre intégrale, et lues par l’élève de façon autonome (en « lecture cursive », c’est-à-dire sans être étudiée en classe). Cette présentation doit être concise mais efficace : présenter le contexte et le résumé de l’œuvre de façon claire et synthétique, puis expliquer rapidement les raisons pour lesquelles cette œuvre nous a séduit(e), interpellé(e), intéressé(e). Ces arguments peuvent être thématiques (le sujet m’intéresse), esthétiques (le style de l’auteur(e) m’a touché(e), le rythme de l’œuvre m’a captivé(e)…), politiques, philosophiques ou moraux (les questions abordées par l’œuvre m’ont intéressé(e)) etc. Il importe donc de préparer efficacement sa liste d’arguments. En effet, même si l’on n’a pas le temps de les développer dans la présentation, il y a de fortes chances pour que l’examinateur ou l’examinatrice nous invite à revenir sur ces raisons rapidement mentionnées afin de les approfondir. La critique de l’œuvre gagne donc à être préparée pour être solide. Enfin, elle peut être étayée par l’intégration de ressources qui lui sont liées (adaptations théâtrales ou cinématographiques, expositions ou documentaires…)

    C’est là notamment que les parents peuvent apporter leur aide à leur enfant : même sans avoir lu l’œuvre (il arrive que l’examinateur/l’examinatrice soit aussi dans cette situation), ils peuvent mesurer la clarté et l’intérêt de la présentation. On peut enfin inviter son enfant à approfondir son argumentation en le relançant par des questions variées.

     

    En quoi Ipesup peut-il aider les élèves qui se sentiraient peu à l’aise avec ces exercices ou auraient le sentiment de manquer de ressources et d’entrainements ?

    Ipesup a développé un stage spécifique de préparation de l’oral intitulé  « objectif oral de français ». Il s’agit d’une formation dédiée à la préparation de l’oral, comprenant d’une part un cours collectif de 3h destiné à transmettre les techniques de l’épreuve, et d’autre part l’accès à la partie « oral » de la plateforme Libris qui propose des exemples commentés, des vidéos rappelant le format et les attendus de l’épreuve, et surtout des cours de grammaire avec des exercices pour s’entrainer en ligne sur toutes les notions du programme. Enfin, cette préparation débouche sur un oral blanc en conditions d’examen proposé en mai ou en juin, en présentiel à Paris. Cette partie « oral » de la plateforme Libris peut également être achetée seule pour une révision efficace des points de grammaire, et un rappel complet du format de l’épreuve.

    Par ailleurs, pour les élèves qui suivent une formation continue avec Ipesup (« Cycle continu 100% présentiel »  tous les samedis après-midis, ou «  Parcours coaché Libris » à distance) l’accès à la partie « oral » de la plateforme Libris ainsi que des entrainements sont intégrés.



    Sortie en librairies du manuel « Intégrer une Ecole de journalisme » le 23 mai

    Eric DUQUESNOY, ancien élève de l’école normale supérieure et diplômé de Sciences Po, Directeur-fondateur de la prépa Journalisme d’IPESUP, et Fabrice PICON, Directeur de la School of English d’IPESUP et professeur d’anglais à Paris-Jussieu cosignent le livre Intégrer une Ecole de journalisme paru aujourd’hui aux éditions Ellipses.

    Présentation de l’ouvrage

    Les 14 écoles reconnues par la profession sont les meilleures voies d’accès au métier de journaliste dans toutes ses dimensions actuelles. Ces écoles sont difficiles à atteindre et le taux général de réussite ne dépasse pas les 10 % par rapport au nombre de candidats. Les étudiants sont désarçonnés par une procédure qui mélange les exigences d’un dossier de motivation approfondi et des épreuves d’écriture journalistique que les étudiants n’ont jamais connues auparavant. Le livre propose :

    • Un descriptif détaillé de chaque école avec présentation détaillée des différentes procédures d’admission.
    • Les clefs d’une approche réussie dans des domaines aussi variés que la géopolitique, les médias, l’histoire du sport…
    • Des exemples de questions récurrentes et des conseils pour bien maîtriser les oraux.
    • Des questionnaires corrigés pour s’entrainer sur les questions d’actualité.

    Il souligne aussi la nécessité d’un travail personnel tourné vers le journalisme et non plus vers les diplômes universitaires classiques.

    Le livre s’adresse à ceux qui veulent devenir journalistes. Il peut aussi intéresser ceux qui veulent en savoir plus sur les médias et sur le métier d’informer.

    La prépa Journalisme d’IPESUP, une référence depuis 1991

    Depuis plus de 25 ans, Ipesup propose une préparation aux concours des Grandes Ecoles de journalisme, soit sous forme de cycle annuel, soit sous forme de stages intensifs de vacances, avec dans tous les cas l’accès à la préparation aux oraux. Voici 10 raisons de suivre la préparation journalisme

    1. Une préparation professionnelle tournée depuis plus de 25 ans vers le métier de journaliste, créée et animée par Éric Duquesnoy, ancien élève de l’École normale supérieure et diplômé de l’IEP Paris, spécialiste de géopolitique et auteur de nombreux articles sur le sujet
    2. Un taux de réussite aux 14 écoles reconnues par la profession de 74%, bien au-dessus du taux de réussite national de 11%
    3. Des professeurs pour la plupart anciens élèves des Écoles de journalisme, très bien informés sur le métier lui-même et les épreuves proposées dans le cadre des concours
    4. Un encadrement personnalisé et un vrai dialogue avec les étudiants pour les aider à renforcer leur crédibilité professionnelle devant les jurys d’admission
    5. Une préparation efficace aux écoles reconnues par la profession et en particulier à celles du top-7 (top-9 en incluant notre préparation spécifique à l’oral d’admission au Master de journalisme de l’IEP Paris et également à l’EJ Toulouse)
    6. Une aide pour les étudiants qui n’ont pas encore fait de stage dans un média à en trouver un pour renforcer leur crédibilité face aux jurys des entretiens de motivation
    7. Une assistance pour les étudiants pour remplir leur dossier d’inscription, et rédiger leur CV et leur projet professionnel par échange de mails et par rendez-vous individuels
    8. NOUVEAU depuis 2023 : un cycle de conférences d’actualité sur les Grands Enjeux du monde contemporain animés par les meilleurs spécialistes des questions d’actualité économique, géopolitique et politique
    9. Des quiz d’actualité interactifs à chaque session suivis de séances d’analyse approfondies, complétées par des cours d’anglais, des cours et ateliers de rédaction
    10. Une prépa à taille humaine, accessible en présentiel, en « live » à distance et en replay avec une attention portée à chaque étudiant


  • Sortie en librairies du manuel "Intégrer une Ecole de journalisme" le 23 mai