Oral du Bac de français, Grand Oral : les enjeux de l’oral au Lycée

« Je n’aime pas parler en public » est une phrase prononcée par de nombreux jeunes. Peut-on vaincre la glossophobie ? Peut-on suivre une méthode et apprendre à réussir ses oraux voire devenir un bon orateur ? C’est l’objectif du ministère de l’Éducation nationale qui souhaite développer la place de l’oral dans l’enseignement français à tous les niveaux.

Il y avait déjà l’oral du Brevet et l’oral de français en Première, la mise en place du Grand oral en Terminale vient renforcer le dispositif d’évaluation de l’aisance des élèves du secondaire.

Ces différentes évaluations sont des jalons devant inciter les élèves à progresser dans leur maîtrise de l’expression orale. A force de travail et d’entrainement, l’objectif en fin de lycée est qu’un élève puisse s’exprimer clairement, soit à l’aise devant le jury, qu’il sache gérer son stress et surtout qu’il sache argumenter, c’est-à-dire échanger avec pertinence.

 

Oral du Baccalauréat de français

Ayant lieu fin juin et affectée d’un coefficient cinq, l’épreuve orale se construit autour d’un descriptif d’activités remis par l’enseignant et récapitulant l’ensemble des textes étudiés au cours de l’année. Sur ce descriptif, figure également l’œuvre choisie par l’élève pour l’exposé oral. Cet exercice est composé de deux parties.

La première partie (12 minutes) se déroule de la manière suivante.

Après avoir accueilli le candidat l’examinateur lui indique :

    • Le texte et le passage retenu
    • Une question de grammaire

À l’issue du temps de préparation :

    • Le candidat propose une lecture expressive du texte après l’avoir situé brièvement dans l’œuvre et le parcours associé. Cette partie est notée sur 2 points et apprécie la qualité de la lecture, sa justesse de même que la pertinence de l’expression
    • Le candidat propose une explication linéaire d’un passage d’une vingtaine de lignes sélectionné par l’examinateur. Cette partie est notée sur 8 points
    • Le candidat répond à la question de grammaire, notée sur 2 points. La question consiste en une analyse syntaxique d’une courte phrase ou d’une partie de phrase du texte

Nous conseillons donc aux élèves préparant l’épreuve orale de Français de reprendre un par un chacun des textes étudiés et de les analyser précisément tant du point de vue de leur contenu, de leurs grands thèmes, de leur forme et de leur structure. Nous les invitons également à apprendre par cœur les introductions et les conclusions des explications linéaires pour être performant à ces moments stratégiques de l’épreuve.

 

La seconde partie de l’épreuve, notée sur 8 points et d’une durée de 8 minutes, se décompose en une présentation de l’œuvre choisie par le candidat suivie d’un entretien avec l’examinateur. Le candidat jugé sur sa capacité à rendre compte de ses réflexions sur ses expériences de lecture doit justifier son choix d’œuvre et répondre aux relances de l’examinateur afin de défendre son point de vue.

Pour cette partie, l’élève doit se préparer en lisant très attentivement l’œuvre en question, en résumant chaque chapitre, en sélectionnant les passages-clefs, en extrayant des citations puis en structurant un argumentaire qui explique les raisons pour lesquelles il trouve cette œuvre particulièrement intéressante. Chacun de ces arguments doit être assorti d’exemples précis choisis dans l’œuvre. Il ne s’agit en effet ni de faire un cours sur l’œuvre, ni de réciter un texte appris par cœur : il faut au contraire que l’examinateur sente que l’œuvre a fait l’objet, de la part du candidat, d’une réelle appropriation personnelle.

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Le Grand Oral

Le Grand oral est une des épreuves finales du Baccalauréat et compte avec un coefficient dix (sur cent) dans la note finale du Baccalauréat pour les élèves en voie générale.

Les sujets

Pour le Baccalauréat général, les questions problématisées doivent être en lien avec les programmes du cycle terminal des deux enseignements de spécialité du candidat suivis en classe de Terminale. Elles peuvent soit être transversales aux programmes des enseignements de spécialité, soit porter sur un point précis du programme de l’enseignement choisi.

Dès la Première, il est intéressant de débuter sa réflexion sur les sujets pouvant être présentés mais le sujet sera définitivement validé en Terminale. Les élèves peuvent travailler seuls ou en groupe et sont accompagnés par un ou plusieurs enseignants.

La question, validée par les professeurs, ne peut pas faire l’objet d’une évaluation.

 

Le déroulé

L’examen du Grand Oral, d’une durée de 20 minutes, est présenté individuellement et est précédé d’un temps de préparation de 20 minutes également.

Dans un premier temps, l’élève énonce les deux sujets au jury qui en choisit un.

Le temps de préparation permet au candidat de structurer son argumentation, d’organiser son propos et de réaliser une production écrite s’il le souhaite. Cette production peut être remise au jury au début de l’épreuve et ne donne pas lieu à une évaluation.

L’oral en lui-même s’articule autour de 3 étapes : 

 

    • S’engager et convaincre : 5 min debout avec notes rédigées durant la préparation 

Le candidat présente la question choisie par le jury et expose les motivations qui l’ont conduit à étudier cette question. Il présente ensuite sa réponse.

 

    • Dialoguer : 10 min sans notes debout ou assis

C’est une phase d’échange entre le candidat et le jury pour approfondir certaines notions et juger la maîtrise du programme des enseignements de spécialité. Le jury évalue particulièrement les qualités d’argumentation du candidat.

Il est important d’anticiper les questions pouvant être posées et de préparer des mots-clefs pour chacune d’elles.

 

    • Synthétiser et préciser son projet d’orientation : 5 min sans notes debout ou assis

Le candidat montre que la question traitée a participé à la maturation de son projet de poursuite d’études et même de son projet professionnel. Il met en lumière les différentes étapes qui lui ont permis de s’orienter dans la trajectoire qu’il a choisie (stage de Troisième, choix des enseignements de spécialité, d’enseignements optionnels, autres stages ou expériences professionnelles, rencontres, choix des vœux Parcoursup, résultats…)

Cependant, si la question traitée ne correspond pas à son projet d’orientation, le candidat ne sera pas pénalisé. En revanche, le jury l’interrogera probablement sur la cohérence de ses motivations.

 

Le jury

Le jury est composé de deux examinateurs. L’un est nécessairement enseignant de la spécialité à laquelle s’adosse la question qui a été présentée par le candidat. L’autre examinateur peut être un professeur de toute discipline, y compris un professeur documentaliste.
Comme pour toutes les épreuves finales, l’organisation relève des services académiques, dans le respect des consignes nationales.

Lors de la prestation du candidat, une attention particulière sera portée par les membres du jury sur les points suivants :

    • la qualité de sa prestation orale, c’est-à-dire sa capacité à capter l’attention, soutenir un discours, etc
    • la qualité  de sa prise de parole en continu, c’est-à-dire sa gestion du temps, la ponctuation du discours, etc
    • la qualité de ses connaissances
    • la qualité de son interaction avec les membres du jury, c’est-à-dire sa capacité à réagir à une interrogation, à la reformuler, à prendre l’initiative dans l’échange, etc
    • la qualité et la construction de son argumentation et de sa démonstration

 

Conseils pour les oraux

L’oral se prépare le plus tôt possible. Il est important de travailler la qualité de la parole et de la gestuelle. Un travail sur la posture et la respiration est primordial. Il s’agit d’apprendre à mieux coordonner sa pensée et son corps. Il faut également s’entrainer à organiser ses idées selon une méthode : choisir et ordonner ses arguments (lister, justifier, documenter, sourcer, établir une démarche, rédiger un plan ou une carte mentale…).

Enfin, au-delà de la maîtrise de son sujet, il peut être très utile de se filmer, de s’écouter ou de visualiser mentalement son oral.

En conclusion, le but des épreuves orales, est évidemment de valoriser un travail réalisé dans la durée mais surtout de mettre l’accent sur l’expression orale et ainsi préparer les étudiants aux exercices qu’ils rencontreront dans l’enseignement supérieur et le monde professionnel.

Souvent relégué aux traditionnelles épreuves de rattrapage, « l’oral » avait l’habitude d’occuper une place subalterne dans le système éducatif français. Les évolutions récentes et notamment l’apport scientifique des neurosciences rappelant l’importance de la coordination entre la pensée et le corps, entre la prise de parole et l’engagement physique du candidat ont conduit à accorder plus d’influence à la prestation orale.

En travaillant et en s’entraînant avec les bonnes méthodes, il est donc possible de progresser significativement à l’oral. De grands timides remportent des concours d’éloquence !



La Prépa DSCG d’Ipesup de nouveau accessible au CPF

Depuis plus de 25 ans, Ipesup dispense une formation de haut niveau au Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG).

Bonne nouvelle pour les candidats : depuis le 8 mars 2023, la prépa DSCG d’Ipesup est de nouveau accessible au compte personnel de formation ! Ce dispositif permet aux candidats de financer tout ou partie de leur prépa à l’aide des droits à la formation qu’ils ont accumulés lors de leurs expériences professionnelles. On peut encore rejoindre le stage « Dernières révisions » et faire financer la formation en CPF.

 

Un contrôle renforcé des formations en CPF

Certains organismes peu scrupuleux, qui ont émergé au moment de la création du CPF, avaient cru voir dans ce dispositif une manne financière, alors qu’il devait être un simple facilitateur de financement pour les candidats. Formations de mauvaise qualité, absence de contrôle pédagogique, démarches commerciales agressives… il s’est avéré nécessaire pour les acteurs de la formation continue de mettre un terme à ces pratiques dommageables à l’ensemble du secteur, et en premier lieu aux candidats.

C’est ainsi que la Caisse des Dépôts et Consignations – entité de tutelle sur la partie financement de la formation, et notamment du CPF – a entrepris de diligenter des contrôles renforcés et de procéder à des déréférencements de formations. Après la parution du Décret du 22 avril 2022 portant une modification des conditions d’éligibilité au compte personnel de formation, la CDC s’est notamment attaquée, dans un premier temps, aux formations dits sur « codes CPF libres ». Ces codes, non liés à des formations inscrites au RNCP (répertoire national des compétences professionnelles) ou au RS (répertoire spécifique), permettaient à des acteurs peu scrupuleux d’inscrire des formations non certifiantes sur la plateforme publique moncompteformation.gouv.fr, et de bénéficier ainsi de financements. Il s’agissait notamment de formations répertoriées sur le code libre « Aide à la création d’entreprise ». Ils sont aujourd’hui mieux régulés : tant mieux.

Malheureusement, dans la démarche louable de déréférencement de formations non certifiantes, la CDC a eu la main lourde et a déréférencé les formations au diplôme supérieur de comptabilité et de gestion, alors même que le DSCG est un diplôme de grade Master qui relève bien du répertoire national des compétences professionnelles (fiche RNCP n° RNCP35044), et qui, par le public qu’il vise (praticiens de l’expertise, souvent en cabinet), relève bien de la formation continue et non de la formation initiale.

Fort heureusement, ce déréférencement incompréhensible, intervenu deux fois (de juin au 25 août 2022 ; puis du 10 décembre 2022 au 8 mars 2023) a été annulé.

Depuis le 8 mars 2023, les formations d’IPESUP sont de nouveau accessibles au CPF ! C’est une bonne nouvelle pour les praticiens des métiers de l’expertise comptable.

 

Ipesup : un acteur historique de la formation continue et de la prépa DSCG

Le Groupe Ipesup n’avait, lui, pas attendu l’émergence du droit individuel à la formation (DIF) ni du compte personnel de formation (CPF) pour assurer des formations continues de haut niveau. A travers son établissement spécialisé Ipesup Formation, le Groupe Ipesup a ainsi dispensé des formations pour des grands groupes comme Air France ou IBM dès les années 1980. La préparation du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion était créée dès les années 1990. Sous la direction de Michel ANQUETIL et avec le concours de professeurs de haut niveau (notamment M. Stephen ALMASEANU et M. Serge ZELYNSKY en gestion juridique, fiscale et sociale et M. Georges LEGROS en comptabilité et audit), Ipesup a ainsi formé pas moins de 25 promotions d’experts comptables vers l’obtention de leur diplôme et leur réussite professionnelle.

 

Ipesup Formation : un acteur sérieux certifié Qualiopi depuis 2021

Instituée par la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, la certification Qualiopi constitue une reconnaissance de qualité et de sérieux des organismes de formation. L’organisme certificateur s’assure de l’adéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement aux prestations mises en œuvre. Il vérifie la qualification et le développement des connaissances et compétences des personnels chargés de mettre en œuvre les prestations. Si cette certification est devenue obligatoire au 1er janvier 2022 pour bénéficier de fonds publics, c’est dès 2021 qu’Ipesup a obtenu le label Qualiopi.

 

La prépa DSCG d’Ipesup : trois formules de préparations éprouvées

Ipesup propose trois formules de préparation éprouvées, adaptées aux besoins de chacun :

  • la préparation annuelle permet aux étudiants de se préparer sur le temps long. Elle est ouverte à tous, mais particulièrement adaptée aux candidats qui travaillent déjà en cabinet d’expertise comptable ;
  • la préparation intensive d’été, en juillet/août, permet aux candidats de se préparer sur quelques semaines. Elle est particulièrement adaptée aux candidats récemment diplômés, qui cherchent à conclure leur cursus par un succès au DSCG dès le mois d’octobre suivant ;
  • le stage intensif « dernières révisions » avant les épreuves s’adresse tant aux étudiants désirant parfaire leur entraînement qu’aux salariés souhaitant réactiver leurs connaissances.

 

Les inscriptions sont ouvertes pour la préparation annuelle

  • Préparation annuelle UE4 : 44 heures de cours et examens du samedi 25 mars 2023 à début juillet 2023
  • Préparation annuelle UE 1 : 48 heures de cours et examens du samedi 1er avril 2023 à début juillet 2023
  • Les inscriptions sont ouvertes

>>> En savoir plus 



    L’importance du français dans le métier de Journaliste

    Un constat général

    Le français mérite une place spécifique dans le cadre d’une préparation aux écoles de journalisme. La maîtrise de la langue est essentielle dans l’exercice du métier et les jurys testent votre français à plusieurs niveaux :

      • la qualité de votre expression dans le dossier de candidature ;
      • la capacité à répondre d’une manière précise à des questions d’orthographe, de grammaire et de vocabulaire, à l’écrit comme à l’oral ;
      • la façon dont vous vous exprimez dans votre entretien.

    Le constat général réside dans l’affaissement du niveau de français des étudiants-candidats. Il y a un décalage croissant entre les exigences « normales » des jurys et le niveau d’expression des étudiants.

    Pour être plus précis, les dossiers comportent de plus en plus de fautes d’orthographe et des expressions incorrectes et répétitives. La maîtrise de la conjugaison laisse à désirer, la grammaire est souvent massacrée et le vocabulaire est sommaire.

    Les étudiants ne sont guère sensibilisés aux questions ayant trait au français et ils considèrent que leur niveau est acceptable puisqu’ils ont franchi tous les obstacles universitaires. Comme pour beaucoup d’étudiants, la lecture est une activité en déclin, cela entraîne une moindre maîtrise du vocabulaire.

    Les jurys considèrent que le critère de la maîtrise de la langue est fondamental, même si celle-ci n’est plus évaluée dans le cadre d’épreuves écrites en bonne et due forme. Ils font entrer le critère de la langue comme un élément complémentaire et important dans leur choix.

    Quelques conseils ne seront pas inutiles. Et ces conseils ne vous dispensent pas de reprendre les bases grammaticales et orthographiques dans un bon manuel du secondaire.

     

    Parfaire son dossier de candidature

    On pourrait considérer qu’il suffit de soumettre le texte de son dossier de candidature à un correcteur orthographique pour éliminer les fautes. Sans aucun doute mais il reste le risque de mauvais choix en matière de vocabulaire sans parler des impropriétés et des expressions trop familières.

    Parmi les points importants en matière d’expression, nous pouvons mettre en valeur 12 points :

    1. Le passé simple est un temps spécifique de l’indicatif. Pour l’utiliser, il faut connaître sa conjugaison. On dit, je l’aimai et non pas je l’aimais. On dit il fut et non pas il fût.

    2. Le conditionnel est un mode à part entière. Il n’a rien à voir avec le futur simple. «Je voudrai» est un conditionnel, ce n’est pas un futur. Le conditionnel est un temps qui marque une forme de réserve et de prudence. Le futur est un temps de l’indicatif, un temps de l’affirmation et du réel.

    3. «Au final» n’est pas correct en français. Vous pouvez le remplacer par «finalement» ou «en fin de compte».

    4. «Du coup» est devenu l’expression d’une génération mais son utilisation systématique a fini par lasser tout le monde et, en particulier, les membres des différents jurys. Vous pouvez trouver des équivalents comme « par conséquent » ou « donc » ou « dans ces conditions ».

    5. En français, on écrit « M. » pour monsieur et pas « Mr ».

    6. En français, toujours, les adjectifs ne prennent jamais de majuscule. Revoyez bien la définition du mot «adjectif».

    7. Si vous dites à quelqu’un «Vous n’êtes pas sans ignorer», c’est l’équivalent de «vous ignorez». Si vous voulez dire à quelqu’un qu’il sait quelque chose, vous dites «vous n’êtes pas sans savoir».

    8. On apporte un document, on ne l’amène pas. On amène une personne ou un être vivant. Et l’on apporte un objet.

    9. «Faire long feu», signifie «échouer» ou «rater». Quand vous dites «mon expérience de stage a fait long feu», cela veut dire que cela n’a pas duré, que ce fut un échec.

    10. On dit «c’est de cela qu’il s’agit» et non pas, «c’est de cela dont il s’agit».

    11. On célèbre un anniversaire mais on commémore un événement. Evitez l’expression «fêter un anniversaire» qui ne s’applique que dans le cadre privé à propos d’une personne.

    12. On dit «je me rappelle quelque chose» et «je me souviens de quelque chose».

    Ces 12 points parmi d’autres, pour vous aider à éviter les impropriétés ou erreurs qui pourraient être préjudiciables, surtout si elles ont tendance à s’accumuler. Et faites-vous relire par un vrai connaisseur de la langue française.

     

    Orthographe, conjugaison, grammaire

    On ne saurait trop vous conseiller de revoir toutes les règles de grammaire et d’orthographe dans un manuel de votre choix. Vous serez testé dans le cadre de l’ESJ Lille avec un test en ligne mais aussi dans le cadre des oraux où l’on pose désormais des questions d’orthographe et de vocabulaire. Il faut préparer ces épreuves et ces questions, surtout si vous pensez que l’orthographe ne sert à rien et que vous traînez de grosses lacunes depuis longtemps.

    Pour organiser votre travail, il faut vous concentrer sur quelques points d’orthographe-grammaire récurrents dans les concours.

     

     1. L’accord du participe avec l’auxiliaire avoir

    «J’ai mangé tous les fruits que tu avais achetés». L’accord se fait avec le Complément d’Objet Direct si celui-ci est placé avant le groupe verbal au passé composé. Un impératif : vérifiez que vous maîtrisez bien tous les termes grammaticaux comme passé composé, COD, auxiliaire avoir…

     

     2. L’utilisation du subjonctif

    Le subjonctif est souvent considéré comme un mode en voie de disparition. On le trouve en général dans les subordonnées conjonctives introduites par des verbes de crainte, de regret, de sentiment, de jugement, d’obligation… Le subjonctif est donc le mode de de la subjectivité. Il introduit un mode différent de conjugaison et de signification par rapport à l’indicatif qui est le mode du réel. On dit bien «il faut que je vienne», «je crains que tu ne viennes pas», «je regrette que tu ne sois pas venu».

    Attention, certaines conjonctions de subordination appellent le subjonctif, d’autres pas. «Après que» se construit avec l’indicatif, «avant que» avec le subjonctif. «Quoique» et «bien que» se construisent aussi avec le subjonctif. «Malgré que» n’est pas correct.

    N’oubliez pas qu’il y a plusieurs temps au subjonctif : subjonctif présent, subjonctif passé, subjonctif imparfait, subjonctif plus-que-parfait. Leur utilisation dépend de la concordance des temps. Pour schématiser, une proposition principale au présent appelle un subjonctif présent ou passé dans la subordonnée. Une proposition principale au passé appelle un subjonctif imparfait ou plus-que-parfait.

    «Il faut que tu viennes», «il fallait que tu vinsses», «il faut que tu sois revenu avant la nuit», «il fallait que tu fusses revenu».

    Un autre impératif : revoir la conjugaison aux temps du subjonctif des verbes les plus courants comme aimer, aller, venir, pouvoir, faire.

     

    3. L’accord du participe passé au passé composé pour les verbes pronominaux au passé composé et au plus-que-parfait. De l’indicatif ou du subjonctif

      • Les verbes qui n’existent qu’à la forme pronominale

    Exemples : Se souvenir, se repentir

    Le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le sujet : Elles se sont souvenues.  Ils se sont repentis

     

      • Les verbes qui existent à la forme pronominale et non pronominale

    Exemples : Se battre, se parler, se tuer, se confiner, se plaire

    Revenir toujours à la forme non pronominale. Pour mémoire, la forme non pronominale de se battre est battre. A la forme non pronominale, certains verbes se construisent avec un COD, d’autres avec un COI. Battre se construit avec un COD : je bats quelqu’un. C’est un verbe TRANSITIF. Parler se construit avec un COI comme plaire : je parle à quelqu’un. Je plais à quelqu’un. C’est un verbe INTRANSITIF.

     

    •  Pour les verbes TRANSITIFS à la forme pronominale, l’accord se fait en genre et en nombre avec le sujet : Ils se sont battus, ils se sont tués, ils se sont confinés
    • Pour les verbes INTRANSITIFS à la forme non pronominale, l’accord ne se fait pas, cela reste invariable : Ils se sont parlé, ils se sont plu, elles se sont pli, nous nous sommes plu
    • Pour les verbes PRONOMINAUX AVEC UN COD, c’est à dire avec Complément d’Objet Direct : Elle s’est lavée, VERBE SANS COD. L’accord se fait en genre et en nombre avec le sujet. Mais : elle s’est lavé les cheveux. Il y a un COD, il est placé après, lavé reste invariable. En revanche, on écrira : les cheveux qu’elles se sont lavés car le COD est placé avant.

    C’est simple à condition de se rappeler que ces règles sont les mêmes qu’avec l’auxiliaire avoir, à la forme non pronominale : Les choses que j’ai dites, les choses qu’ils se sont dites.

     

    4. L’accord des adjectifs de couleur

    Les adjectifs de couleur s’accordent en genre et en nombre avec le nom qu’ils modifient : Une voiture jaune, des voitures jaunes.

    En revanche, les adjectifs de couleur composés restent invariables : Une robe bleu-vert, des robes bleu-vert. On dit aussi des robes bleu ciel.

    Attention : les adjectifs de couleur qui tirent leur nom d’un fruit ou d’une fleur ou d’un objet quelconque sont invariables, à l’exception de l’adjectif « rose » qui est invariable : Une robe orange, des robes orange. Une robe rose, des robes roses. Des pantalons marron, des vestes kaki, des pulls acajou, des chaussures abricot.

     

    5. Les groupes de verbes

    Les jurys peuvent être amenés à vous poser des questions sur les trois groupes de verbes que vous êtes censés connaître. Un rappel n’est pas inutile.

      • Les verbes du premier groupe se terminent en -ER, comme aimer, parler, pencher, rêver, sevrer. Tous les verbes en -er sauf le verbe aller.
      • Les verbes du deuxième groupe se terminent en -IR, comme rougir, fleurir, épaissir, épanouir…à condition que le participe présent se terminent en -ISSANT.
      • Les verbes du troisième groupe se terminent en -IR quand le participe présent ne se termine pas en -ISSANT. Par exemple, vêtir qui donne vêtant, mentir qui donne mentant, mourir qui donne mourant… A cela, s’ajoutent les autres verbes, en particulier ceux qui se terminent en -OIR sans oublier ALLER.

     

     6. L’impératif

    C’est un mode à part entière qui n’a qu’un temps, l’impératif présent. Les personnes sont la deuxième personne du singulier. Et la première et deuxième personne du pluriel. Pour être clair et simple : cours, courons, courez.

    Une mention spéciale pour les verbes du premier groupe comme aimer. Il n’y a pas de -S à la deuxième personne du singulier : aime, parle, cède. N’oubliez pas l’impératif du verbe aller : va, allons, allez.

     

    7. Les nombres en lettres

    Ce qu’on appelle les adjectifs cardinaux. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt. Ils sont invariables, à l’exception de vingt et cent.

    En effet, on écrit quatre-vingts. On écrit deux cents, trois cents. Car il n’y a rien qui suit. Mais on écrit quatre-vingt-un, cinq cent un ou cinq cent mille.

    Les adjectifs cardinaux composés comportent un trait d’union jusqu’à 99 : quatre-vingt-dix-neuf. En revanche, on écrira cent un, cent deux, cent dix….

    Mille est toujours invariable. Million et milliard sont des noms, ils sont variables. On écrira donc cinq mille, cinq millions, cinq milliards. Et bien sûr, cinq millions cinq cent mille.

     

    8. Les adverbes

    Ils modifient le sens de la phrase et sont rattachés à un verbe, d’où le mot « adverbe ». Apprenez à revoir le sens de tous les termes grammaticaux. Les adverbes sont invariables, d’où l’idée de bien les distinguer des adjectifs qui sont rattachés à un nom et qui varient en genre et en nombre en fonction du nom en question.

    Apprenez à bien orthographier les adverbes en -MENT : «évidemment, abondamment, récemment, notamment, puissamment…»… il faut redoubler la consonne quand l’adverbe est tiré d’un adjectif ou d’un participe présent. Cela détermine aussi l’orthographe : notant donne notamment, récent donne récemment, puissant donne puissamment, évident donne évidemment.

     

     9. Orthographe et logique

    Les étudiants s’en remettent parfois au hasard et ne voient pas qu’il y a une part de logique dans l’orthographe. Par exemple, «tous les mercredis soir» c’est correct. Les noms de jour sont variables, y compris le dimanche. On dit bien «tous les dimanches». En revanche, le moment de la journée ne change pas, il est assimilé à un adverbe, donc il est invariable. Donc «soir», «après-midi», «matin» dans ce type d’expression restent invariables. On dit en revanche : «les premiers lundi et mardi de chaque mois» puisqu’il n’y a qu’un premier lundi et qu’un premier mardi dans le mois, et non plusieurs.

    Un autre aspect de la logique :  les adjectifs qui représentent un tout logique sont également invariables car on peut les assimiler à des adverbes. Par exemple, «j’ai acheté des damiers noir et blanc». L’essence du damier est d’être noir et blanc, d’avoir des cases noires et blanches. Si vous achetez des damiers noirs et blancs, vous allez avoir des damiers noirs et des damiers blancs, donc vous ne pourrez pas jouer aux dames. Donc, pas de -S à noir et blanc.

    J’aime les drapeaux français, bleu, blanc et rouge. L’orthographe est correcte puisque le drapeau français est par essence bleu, blanc, rouge. Si vous écrivez «les drapeaux français bleus, blancs, rouges», cela veut dire qu’il y a un drapeau français bleu, un drapeau français blanc, un drapeau français rouge. Un autre exemple : un petit-beurre, des petits-beurre. Il s’agit bien entendu de petits gâteaux au beurre. Et la logique veut que «beurre» reste au singulier.

    On dira aussi «Le professeur enseigne les littérature anglaise et allemande» car il y a une seule littérature anglaise et une seule littérature allemande. En revanche, on dira «J’ai appris les langues amérindiennes et africaines» car il y a plusieurs langues amérindiennes et plusieurs langues africaines.

    Essayez toujours d’adopter un point de vue logique quand vous êtes confronté à un dilemme orthographique. Et dites-vous bien que l’orthographe n’est pas une affaire de hasard, qu’il faut revoir les conjugaisons, les règles d’accord. Appliquer les règles et être logique.

     

    10. Apprendre aussi

    Sans doute, l’affaissement de la lecture fait que les étudiants connaissent moins de mots et savent moins bien orthographier ceux qu’ils connaissent. Pour bien maîtriser l’orthographe, il faut apprendre à se familiariser avec de nouveaux mots et se faire aussi des petites fiches d’orthographe.

    Quelques exemples orthographiques que vous pouvez ficher :

      • Une heure et demie, une demi-heure (une heure et demie, demie adjectif ; une demi-heure, demi adverbe)
      • Les arrhes ont été versées (nom courant mais ignoré des étudiants, féminin pluriel)
      • Un arc-en-ciel, des arcs-en-ciel
      • Le Midi, le midi de la France, le Nord, le nord de l’Italie
      • Le Venezuela, un Vénézuélien.
      • Un croque-monsieur, des croque-monsieur
      • Un fabricant de meubles, un trafiquant de drogue
      • L’arbre a crû de deux mètres, sa hauteur s’est accrue de deux mètres
      • Une espèce d’oiseaux (espèce est toujours au féminin, le pluriel vaut pour une espèce car s’il y a un seul individu, ce n’est plus une espèce)
      • Un long-courrier, des long-courriers
      • Les effluves embaumés (nom pluriel masculin)
      • Un amour fou, des amours folles. Un délice éternel, des délices éternelles.

     N’oubliez que l’on peut vous poser des questions d’orthographe pendant les oraux d’admission.

     

    Vocabulaire

    En dehors du fait que vous avez intérêt à varier votre vocabulaire dans votre dossier et dans vos lettres de motivation, vous devez prendre en compte le fait que les questions de pur vocabulaire font partie des éléments d’évaluation et de sélection aux oraux de certaines écoles comme on l’a vu en 2022. Au CFJ, à l’EJT Toulouse et à l’IFP, des questions directes de vocabulaire ont été posées. C’est une tendance que l’on peut comprendre aisément quand on voit les difficultés de nombreux « millennials » à retrouver le sens de mots simples. Encore un problème lié au manque de lecture. C’est d’autant plus important de maîtriser le maximum de mots que de nombreux médias sont très exigeants dans le domaine de la qualité de la langue en fonction des attentes de leur lectorat.

    Les étudiants sont d’autant plus démunis qu’ils n’ont pas la possibilité du recours à l’étymologie pour s’en sortir puisque la plupart n’ont fait ni latin, ni grec. Et qu’ils n’ont pas toujours le réflexe salutaire de vérifier le sens des mots qu’ils ne connaissent pas. Sans parler du fait qu’ils n’ont pas conscience du fait que leur niveau de vocabulaire est le reflet de leur niveau de culture générale. Le meilleur conseil est justement de changer votre niveau d’exigence et d’aller jusqu’au niveau de vérification maximale de tous les mots que vous ne connaissez pas quand vous lisez un article ou un essai.

    Les tests de vocabulaire sont de plus en plus fréquents, y compris sur les réseaux sociaux où l’on défie les millénnials sur des mots qui n’appartiennent pas à leur univers a priori.

    Un exemple : Connaissez-vous le sens des mots suivants ?

      • Naguère
      • Se languir
      • Moults
      • Jadis
      • Calembour
      • Gentilhomme
      • Garnement
      • Présent…deux sens possibles
      • Damoiseau
      • Mécréant
      • Baliverne
      • Souiller
      • Diantre
      • Festoyer
      • Gringalet
      • De ce pas
      • Quémander
      • Que nenni

    Ce petit test pour vous permettre de voir où vous en êtes. Si vous êtes en difficulté, il est urgent d’enrichir votre vocabulaire et de densifier vos lectures.

    Aux différents oraux en 2022, parmi les questions de vocabulaire posées, nous avons pu relever quelques exemples qui constituent comme les premières annales de base. A vous de vous situer.

      • La sollicitude
      • Une engeance
      • Dithyrambique
      • Un avatar
      • Comminatoire
      • Une pléthore
      • La cyclothymie
      • Endémique
      • Collatéral
      • Une exaction
      • Discrétionnaire
      • Pécuniaire
      • Un atermoiement
      • La ploutocratie
      • Un ostracisme
      • Le népotisme
      • Une logorrhée
      • Une ineptie
      • Un panégyrique.

    A vous de travailler au quotidien le vocabulaire, ce qui vous permettra d’être à l’unisson des exigences des jurys.



    Comment bien préparer ses vœux en PASS/L.AS sur Parcoursup (spéciale Île-de-France) ?

    Depuis le 18 janvier, tous les lycéens et les lycéennes qui souhaitent accéder aux études de Médecine, Maïeutique, Odontologie, Pharmacie ou Kinésithérapie (MMOPK) peuvent s’inscrire et ajouter leurs vœux sur Parcoursup. Le candidat aura jusqu’à 10 vœux. Deux types de parcours sont proposés pour accéder aux études de santé : le Parcours d’Accès Spécifique Santé (PASS) ou la Licence avec « Accès Santé » (L.AS).

     

    Ce qu’il faut savoir avant de formuler ses vœux sur Parcoursup

    Les premiers paramètres à prendre en compte pour orienter son choix sur Parcoursup sont ses points forts et son projet professionnel.

    Concernant le Parcours d’Accès Spécifique Santé (PASS) hors Île-de-France, lorsque le candidat sélectionne un PASS dans une université cela vaut pour un vœu. Il devra sélectionner la ou les options (mineures) du PASS sur lesquelles il souhaite candidater. Les sous-vœux relatifs aux options ne sont pas comptabilisés. Prenons l’exemple d’un candidat qui s’inscrit au PASS option Sciences pour la santé de l’Université de Grenoble, au PASS option Sciences de l’Université de Grenoble, et au PASS option Science de la vie de l’Université de Saint-Etienne, cela lui compte deux vœux.

    Concernant le Parcours d’Accès Spécifique Santé (PASS) en Île-de-France, toutes les candidatures à des PASS comptent pour un unique vœu. Prenons l’exemple d’un candidat qui s’inscrit au PASS de l’Université de Paris Cité, au PASS de Sorbonne Université et au PASS de l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, cela lui compte un seul vœu.

    Dans le cas des Licences Accès Santé (L.AS), le candidat sélectionne une licence dans une discipline de son choix parmi tout type de licence (ex : Lettres, Droit, Chimie-Biologie, Economie-Gestion, …) qui propose un « accès santé ». La L.AS compte pour un vœu. Il pourra aussi choisir d’intégrer la licence classique sans l’option Santé. Qu’il choisisse d’intégrer la licence classique et/ou celle avec l’option Santé (L.AS), ces sous-vœux ne sont pas décomptés.

    Le candidat peut supprimer tout ou partie de ses vœux à tout moment de la phase d’inscription qui a lieu du 18 janvier au 9 mars. Il est important de préciser qu’après le 9 mars, le candidat ne pourra plus formuler de vœux sur Parcoursup, mais il aura jusqu’au 6 avril 2023 pour compléter son dossier et confirmer ses vœux.

     

    Afin de vous permettre de faire vos choix de manière éclairée, nous vous conseillons de consulter attentivement la fiche de la formation à votre disposition afin de vérifier que la formation sélectionnée permette bien de candidater aux filières de santé qui vous intéressent (Médecine, Maïeutique, Odontologie, Pharmacie, Kinésithérapie). En effet, certaines L.AS ne permettent pas d’accéder à l’ensemble des filières de santé. Il est donc primordial de se renseigner en amont sur les débouchés proposés.

    Nous vous conseillons également de vous renseigner sur les particularités de chaque université :

      • Modalité d’enseignement notamment pour l’option « accès santé » qui peut être dispensée uniquement en distanciel (c’est le cas de Sorbonne Université).
      • L’accès aux filières de santé après la Première, Deuxième ou Troisième année de licence.
      • La répartition des enseignements de la mineure en PASS : préparation tout au long de l’année ou en fin de second semestre.

     

    Ipesup vous aide à décortiquer les possibilités offertes par les différentes universités (taux de sélectivité, nombre de places dans les différentes filières, options proposées en PASS, licences disponibles, …) afin d’orienter au mieux la répartition de vos vœux.

     

    Le PASS et les L.AS à l’Université de Paris Cité

    L’Université Paris Cité est issue du rassemblement des Universités de Paris Descartes, Paris Diderot et de l’intégration de l’Institut de Physique du Globe de Paris. Elle a tout d’abord été créée sous le nom Université de Paris et a ensuite été renommée Université Paris Cité en mars 2022. Son siège est situé au 85 boulevard Saint-Germain (6e arrondissement). Elle se positionne 4ème en France et 78ème dans le monde dans le classement de Shanghaï 2022.

    La faculté de santé de l’Université Paris Cité, regroupe plusieurs sites universitaires : UFR de Médecine (sites des Cordeliers, Cochin, Necker, Villemin, Saint-Louis et Bichat), UFR de Pharmacie (site Observatoire) et l’UFR d’Odontologie (sites Garancière et Montrouge). Elle accueille plus de 28 790 étudiants, 1200 scientifiques et enseignants et 46 unités de recherche.

     

    Le PASS à l’Université Paris Cité

    A l’Université Paris Cité, 11 choix de mineures disciplinaires listées ci-dessous sont proposées pour compléter les enseignements du PASS, dont une nouvelle ouverte cette année : Biotechnologies pour la Santé.

    Le nombre de places disponibles est celui communiqué pour la rentrée étudiante 2023, au total 1900 places sont proposées en PASS.

    Le taux d’accès indiqué est celui de la session 2022. Vous retrouverez le détail de ces données dans l’onglet « Accéder aux chiffres clés de la formation » sur le site de Parcoursup (vœux formulés en 2022, rythme d’envoi des propositions d’admission, propositions d’admission envoyées par la formation, …).

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    Les L.AS à l’Université Paris Cité

    A l’Université Paris Cité, 22 choix de licences listées ci-dessous sont proposées avec l’option santé.

    Attention toutes ne donnent pas accès aux 5 filières de santés. Au total 669 places sont proposées en L.AS.

    blankMMOPK : Médecine, Maïeutique, Odontologie, Pharmacie, Kinésithérapie

    MMPK : Médecine, Maïeutique, Pharmacie, Kinésithérapie 

     

    Nombre de places (numerus apertus) dans les différentes filières médicales

    Remplaçant du numerus clausus, le numerus apertus désigne le nombre de places offertes dans les différentes filières de santé. Il est fixé chaque année par les universités en association avec les Agences Régionales de Santé (ARS) en fonction de leurs capacités d’accueil et des places disponibles.

    Ci-dessous est indiqué le nombre de places disponibles pour chaque filière à l’issue du PASS et des L.AS à l’Université Paris Cité pour l’année universitaire 2021/2022.

     

    Nombre de places proposées à l’issue du PASS et des L.AS

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    À partir de la session 2023, la répartition des places en filière de santé à l’Université de Paris Cité est telle que 50% seront dédiées au PASS et 50% aux L.AS.

     

    Modalité d’admission dans les différentes filières de santé

    A l’issue du PASS

    Pour pouvoir accéder aux différentes filières il faut dans un premier temps valider son année avec 60 ECTS. Les épreuves écrites sont sous forme de QCM pour l’intégralité des UE sauf pour les Sciences humaines et Sociales où l’évaluation est rédactionnelle. A l’issue des examens écrits du premier et du second semestre, une partie des étudiants, communément appelés les « Grands Admissibles » (étudiants ayant obtenu des notes supérieures à un seuil fixé par l’université), seront admis directement dans la filière de leur choix.  Ils occupent en moyenne 50% des places disponibles. Les places restantes vont être « remises en jeux » par le passage des épreuves orales. Tous les étudiants ayant validé leur année n’auront pas la chance de passer l’épreuve orale. Le rang du dernier convoqué sera environ 1,5 fois le nombre de places restantes.

    Pour résumé, si nous prenons comme exemple théorique une filière proposant 100 places, les 50 premières places seront occupées par les « Grands Admissibles ». Les épreuves orales seront proposées à 1,5 x 50 = 75 étudiants. Pour espérer avoir une place aux oraux, il faudra donc obtenir un classement de 125 environ après les écrits du deuxième semestre. A l’issu des épreuves orales, les 50 places restantes seront donc redistribuées en fonction de la réussite aux oraux.

    Les étudiants n’ayant pas été admis en filière de santé pourront se réorienter dans la L.AS qui correspond à leur mineure et auront la possibilité de candidater une deuxième et dernière fois à l’issue de leur année de L2 ou de L3.

     

    A l’issue des L.AS

    Afin d’accéder aux études de santé, l’étudiant en L.AS doit remplir les conditions suivantes :

      • Valider 60 ECTS en fin de L1, 120 ECST en fin de L2 ou 180 ECTS en fin de L3.
      • Valider les 12 ECTS de la mineure « accès santé »
      • Avoir candidaté à une ou plusieurs filières de santé durant l’année de son choix : L1, L2 ou L3.

    En cas de deuxième tentative d’accès aux filières de santé, il devra obtenir 60 ECTS de plus entre la première et la seconde candidature.

     

    Modalité d’enseignement

    En PASS

    L’Université Paris Cité dispense des enseignements sous forme de cours magistraux en amphithéâtre (avec retransmission possible dans plusieurs amphithéâtres) et des enseignements dirigés en petits groupes. Les enseignements peuvent être suivis à distance ou en présentiel. Cela permet aux étudiants de suivre la formation selon les modalités de leur choix. Les enseignements se déroulent sur 3 sites : site des Cordeliers, site du Campus Saint Germain des Prés et site de l’Observatoire. Le rattachement à un site s’effectue à la rentrée une fois l’inscription administrative validée.

    Les cours de la mineure disciplinaire sont eux en organisation mixte avec du présentiel et du distanciel. Les calendriers d’enseignement de la majeure santé et de la mineure sont bien séparés.

    Les enseignements de majeure santé sont découpés en deux périodes :

      • de septembre à mi-décembre comprenant les enseignements de Chimie, Biochimie, Biologie cellulaire, l’Histologie/Embryologie, Physique, Santé publique et Sciences humaines et Sociales
      • de janvier à mars comprenant les enseignements de Mathématiques, Biophysique, l’Anatomie, d’Initiation aux Médicaments. Les étudiants de l’Université de Paris suivront également, au second semestre, les enseignements de la (les) filière(s) spécifique(s) demandée(s), d’Anglais et une préparation aux oraux.
      • Les cours de la mineure disciplinaire sont eux dispensés de mi-mars à mi-avril, et chaque mineure aura son propre site d’enseignement.

     

    En L.AS

    Les enseignements de la mineure santé à l’Université Paris Cité, identiques pour chacune des L.AS, sont divisés en 4 Unités d’Enseignements (UE) indépendantes de 3 ECTS chacune (12 ECTS au total). Ces enseignements ne peuvent être suivis qu’en distanciel (volume horaire total d’un peu moins de 100 heures, sans compter le travail personnel).

    Deux possibilités selon les L.AS :

      • la mineure est en dehors des 60 ECTS de la majeur disciplinaire, dans ce cas l’étudiant s’organisera de la manière dont il le souhaite pour suivre ces 12 ECTS et pourra les répartir sur un, deux ou trois ans.
      • Les enseignements de la mineure sont inclus ou partiellement inclus dans la majeure, l’étudiant suivra les enseignements en fonction des attendus de la L.AS choisie. 

     

    Particularité de l’Université Paris Cité

    L’Université Paris Cité a la particularité de mettre l’accent sur les matières scientifiques. Elle est connue pour être très exigeantes en termes de réflexion. Cette typologie correspondra donc d’avantage à des profils d’étudiants avec une plus grande facilité sur les aspects calculatoires. Les unités d’enseignement étudiées en PASS sont coefficientés selon les filières. Prenons l’exemple de la filière médecine, les matières scientifiques (Physique, Chimie, Mathématiques-Biostatistiques) sont coefficientées à hauteur de 27% (base des coefficients pour l’année 2021-2022).

     

    Pour plus d’informations sur l’accès aux filières de santé à l’Université de Paris Cité accéder aux pages dédiées ci-dessous :

    Pour le PASS :

    Pour les L.AS :



    Le classement des Classes Préparatoires Scientifiques

    La CPGE Scientifique est un environnement compétitif pour les élèves, au sein d’une même classe mais surtout entre étudiants des différentes Prépas. Par transitivité, la compétition se reporte entre les institutions : Ginette, Henri IV, Louis-le-Grand ou encore Stanislas, le Parc et Pierre de Fermat, une vingtaine d’établissements, publics et privés, se battent pour les sommets. Le classement des Prépas Scientifiques qui découle des résultats des élèves aux concours des Grandes Ecoles d’Ingénieurs ne manque pas d’être scruté par les jeunes Terminales et leurs parents !

    Ce classement dépend de la filière présentée lors du concours. Le classement des Prépas Maths-Physique (MP) diffère du classement des Prépas Physique-Chimie (PC). Les filières PSI, PT, BCPST (prépa agro-véto) ou TSI peuvent aussi être classées. La position de telle ou telle classe Prépa peut diverger d’un site internet à l’autre et plusieurs indicateurs sont utilisés : X + 3 ENS, Top 15, Top 25… Pas si simple d’y voir clair au travers des nombreux chiffres qui sont donnés.

    Après avoir commenté les classements les plus sérieux publiés par l’Etudiant, le Figaro Étudiant et Challenges, Ipesup se propose ici de vous livrer son propre classement.

     

    Le classement des classements 

    Voici quelques uns des classements les plus consultés :

    L’Étudiant

    Le Figaro Étudiant

    Challenges

    Filières prises en compte

    MP, PC, PSI, PT, BCPST, TSIMP, PC, PSI, PT, BCPSTMP, PC, PSI, PT

    Critères de tri en MP, PC et PSI

    L’X

    L’X et les ENS

    Top 25-30

    L’X

    L’X et les ENS

    Top 15

    Top 8

    Les +De nombreux critères, une méthodologie préciseClareté de l’interface et facilité de compréhensionUn classement compact et lisible, avec les effectifs clairement indiqués, une fiche par prépa
    Les –On passe directement d’un choix élitiste à un choix très large d’écolesCritères peut-être trop élitistes, méthodologie introuvableUn critère unique de criblage, les ENS non prises en compte
    Lien internetL’ÉtudiantLe Figaro ÉtudiantChallenges

     

    Le classement de l’Étudiant, plusieurs cibles et une moyenne sur 5 ans

    L’Étudiant est depuis une vingtaine d’années un journal de référence en matière de classement des Prépas Scientifiques. L’intérêt majeur de ce classement selon nous, outre la possibilité de jouer avec de multiples indicateurs, est la moyenne sur 5 ans des résultats de chaque Prépa. Il est dommage cependant que le critère “un choix plus large” élargisse autant le champ. Le passage entre X-ENS et ce Top 25-30 des écoles d’ingénieurs ne permet pas de visualiser la qualité de la préparation aux concours commun Mines-Ponts et au concours commun CentraleSupélec seuls. On aurait pu apprécier un indicateur intermédiaire de type “Top 15” comme ce fut le cas d’ailleurs jusqu’en 2020, année Covid ayant largement perturbé les sélections.

     

    Le classement du Figaro Étudiant, précis et visuel

    En sus des indicateurs très élitistes permettant de bien saisir où l’X et les ENS sont le mieux préparées, le Figaro Étudiant propose un Top 11 + ENS qui nous semble taper juste. Ce classement intéressera tout particulièrement les élèves les plus ambitieux. On ne comprend cependant pas complètement la méthodologie mise en œuvre. Par exemple, les Télécoms Paris sont hors-scope malgré la demande croissante pour celle-ci, alors que l’INSA Lyon y est référencée. Cette école d’ingénieurs, bien que très côtée dans la filière post-bac, ne fait généralement pas partie des ambitions d’intégration des Maths Spé.

     

    Le classement de Challenges, un angle d’attaque 100% ingénieur

    Le classement proposé par Challenges ne s’intéresse qu’à l’intégration de l’X et des écoles d’ingénieurs de tout premier rang. L’indicateur “Top 8 Ingé” choisi est selon nous intéressant, cependant à un tel niveau d’élitisme nous ne comprenons pas bien le choix de mettre de côté les ENS, tant elles peuvent influencer la décision d’intégration des meilleurs élèves. Enfin, les informations données sur les effectifs et le caractère public/privé de l’établissement sont un excellent complément qui permet de se projeter dans l’univers de chaque Prépa. Une fiche résumée est même systématiquement proposée : un vrai plaisir !

     

    Le classement Ipesup des meilleures Prépas

    Nous ne menons pas l’enquête au même titre que les journaux précités, cependant nous vous proposons ici une analyse transversale s’appuyant sur les chiffres des intégrations 2021 dans chaque filière. En voici le résultat, que vous pouvez aussi retrouver sur notre page internet.

    Filière MP

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    En filière MP, Ginette gagne la bataille de l’X pendant que Louis-le-Grand intègre plus de 18% de ses effectifs dans les ENS. Stanislas parvient à arracher une 2e place sur les résultats Top 15. Blaise Pascal, Hoche et Henri IV suivent de près. On note la prédominance du trio prestigieux privé Ginette/Stan/Lazaristes dans la préparation des écoles d’ingénieurs de premier plan hors X-ENS.

    Le cas de Louis-le-Grand est particulier : en effet, l’établissement intègre tellement d’élèves à Polytechnique et à Normale Sup qu’il n’en reste pas tant à faire intégrer dans le reste du Top 15. Ceux qui n’intègrent pas l’année n redoublent et viennent ainsi gonfler les chiffres de l’année n+1.

     

    Les Prépas à surveiller en MP 

    • Hoche, Versailles

    Au firmament des Prépas MP de la région parisienne, Hoche parvient encore à augmenter le taux d’intégration de ses élèves à l’X et aux ENS. On passe tout de même d’une moyenne de 14,5% sur les années précédentes à un taux record pour la Prépa de 25,6% en 2021. C’est impressionnant.

    • La Borde Basse, Castres

    Petits effectifs, gros résultats : avec une promo d’une vingtaine d’élèves, la Borde Basse (30,6% d’intégration au Top 15) talonne son voisin réputé du sud-ouest de la France, le lycée Pierre de Fermat (36,8% d’intégration au Top 15). Elle a intégré un élève à l’X au concours 2021, à égalité avec l’institution toulousaine qui compte pourtant cinq fois plus d’élèves.

    • Le Lydex, Benguérir

    Cette CPGE située au Maroc dans la région de Marrakech poursuit sa progression : encore 11 polytechniciens cette année sur une promotion de 119 personnes ! La recette pédagogique et commerciale du Lycée d’Excellence lui permet d’apparaître dans le Top 10 des meilleures Prépas MP, quel que soit le crible que l’on se fixe.

    • Ipesup, Paris 5e

    Nous ne sommes pas dans les classements car nos élèves n’ont pas encore passé le concours. Les premiers résultats de nos élèves seront connus à la rentrée 2023. Nos petites promotions et le niveau de nos élèves devraient nous permettre de percer dans les classements : nous pensons intégrer au moins 30% de nos élèves dans le Top 15.

     

     Filière PC

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    En filière PC, un quintuor de tête domine nettement le classement Top 15 avec plus de 60% d’intégration : Sainte-Geneviève, Louis-le-Grand, Henri IV, Stanislas et les Lazaristes. Elles marquent un écart de plus de 15 points avec la Prépa Hoche, elle-même accompagnée de la Prépa Pasteur et du Parc. Cet écart est également notable dans les intégrations X-ENS où le même quatuor se taille la part du lion.

    A noter : très peu de normaliens pour Ginette et, à l’inverse, beaucoup de polytechniciens. Enfin, 2 normaliens pour le Prytanée sur une classe de 15 poussent la statistique d’intégration à 13,3% et assure à cette Prépa une première place des intégrations à l’ENS.

     

    Les Prépas à surveiller en PC

    • Louis-le-Grand, Paris 5e, Sainte-Geneviève, Versailles et Stanislas, Paris 6e.

    Ces trois grandes Prépas de région parisienne connaissent toutes trois un maximum sur 5 ans de leur taux d’intégration à l’X et aux ENS en 2021. Dans le détail :

    • LLG intègre 40% de ses PC à l’X et aux ENS contre une moyenne sur les 4 années précédentes de 29,7%.
    • Ginette intègre 35% de ses PC à l’X et aux ENS contre une moyenne sur les 4 années précédentes de 27,9%.
    • Stan intègre 27,5% de ses PC à l’X et aux ENS contre une moyenne sur les 4 années précédentes de 19,3%.

               

    Faut-il y voir une tendance de fond ? Nous attendons confirmation au prochain concours.

     

    • Pasteur, Neuilly-sur-Seine

    La Prépa Pasteur semble s’installer durablement au-dessus des 10% d’intégration à l’X et aux ENS. À l’inverse, le Parc à Lyon voit ses statistiques d’intégrations osciller de plus en plus en dessous de cette même barre.

    • Descartes, Tours

    Cette Prépa des bords de Loire sort de l’anonymat en affichant 3 intégrations aux ENS en 2021, une performance qui ne semble pas venir de nulle part car deux élèves avaient également pu intégrer Normale Sup au cours des 4 années précédentes. Qualité pédagogique et ambition sont au rendez-vous.

    Au même titre que la filière PC, vous ne pourrez pas nous trouver dans le classement 2022 des Prépas. En revanche, nous y serons l’année prochaine. Nous pensons également intégrer au moins 30% de nos élèves dans le Top 15.

     

    Pour les autres filières, rendez-vous sur notre page internet.



    10 raisons de suivre la prépa Journalisme d’Ipesup

    Les concours des Écoles de journalisme reconnues par la profession sont de plus en plus sélectifs. L’importance des Dossiers de candidature dans les processus de sélection, en plus des épreuves écrites et orales a renforcé la nécessité pour les candidats d’arriver bien préparés aux réalités du métier de journaliste aujourd’hui, au-delà des seules révisions d’actualité. La capacité du candidat à se projeter concrètement dans son futur métier, à se débarrasser de tout angélisme sur le métier de journaliste, mais également à exposer de manière rigoureuse et intelligente une pensée critique à l’écrit comme à l’oral se mesurent aujourd’hui avec encore plus d’acuité.

    Depuis plus de 25 ans, Ipesup propose une préparation aux concours des Grandes Ecoles de journalisme, soit sous forme de cycle annuel, soit sous forme de stages intensifs de vacances, avec dans tous les cas l’accès à la préparation aux oraux. Voici 10 raisons de suivre la préparation journalisme

    1. Une préparation professionnelle tournée depuis plus de 25 ans vers le métier de journaliste, créée et animée par Éric Duquesnoy, ancien élève de l’École normale supérieure et diplômé de l’IEP Paris, spécialiste de géopolitique et auteur de nombreux articles sur le sujet
    2. Un taux de réussite aux 14 écoles reconnues par la profession de 74%, bien au-dessus du taux de réussite national de 11%
    3. Des professeurs pour la plupart anciens élèves des Écoles de journalisme, très bien informés sur le métier lui-même et les épreuves proposées dans le cadre des concours
    4. Un encadrement personnalisé et un vrai dialogue avec les étudiants pour les aider à renforcer leur crédibilité professionnelle devant les jurys d’admission
    5. Une préparation efficace aux écoles reconnues par la profession et en particulier à celles du top-7 (top-9 en incluant notre préparation spécifique à l’oral d’admission au Master de journalisme de l’IEP Paris et également à l’EJ Toulouse)
    6. Une aide pour les étudiants qui n’ont pas encore fait de stage dans un média à en trouver un pour renforcer leur crédibilité face aux jurys des entretiens de motivation
    7. Une assistance pour les étudiants pour remplir leur dossier d’inscription, et rédiger leur CV et leur projet professionnel par échange de mails et par rendez-vous individuels
    8. NOUVEAU depuis 2023 : un cycle de conférences d’actualité sur les Grands Enjeux du monde contemporain animés par les meilleurs spécialistes des questions d’actualité économique, géopolitique et politique
    9. Des quiz d’actualité interactifs à chaque session suivis de séances d’analyse approfondies, complétées par des cours d’anglais, des cours et ateliers de rédaction
    10. Une prépa à taille humaine, accessible en présentiel, en « live » à distance et en replay avec une attention portée à chaque étudiant

     

    Rejoindre la prépa Journalisme d’Ipesup en 2023

    Nous proposons plusieurs formules de préparation : cycle annuel (de décembre à mai) ou stage intensif (stage de Février)On peut tout à fait rejoindre le cycle annuel de la prépa journalisme en cours d’année scolaire, en rattrapant les séances manquées sous forme de replays, ou bien en suivant notre stage intensif de Février 2023. Dans les deux cas, accédez au coaching personnalité d’Eric Duquesnoy et à la préparation aux oraux avec nos membres de jurys, journalistes, spécialistes des admissions dans les meilleures écoles de journalisme françaises.

     

    Témoignages de journalistes associés à la préparation d’IPESUP

    Les actualités Journalisme

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    Êtes-vous fait pour le journalisme ?

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    Le journalisme en France aujourd’hui

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    L’avenir du journalisme



  • 10 raisons de suivre la prépa Journalisme d'Ipesup
  • L’importance des Mathématiques au Lycée

    La réforme du lycée voulait marquer la fin d’une certaine prépondérance des Mathématiques au lycée. En introduisant le choix d’enseignement de spécialité et au départ un tronc commun sans de véritables Mathématiques, chaque élève pouvait créer son parcours en fonction de ses goûts.

    Confronté au réel des filières du supérieur et des statistiques de choix de spécialité (cf Note d’information, N°22.19 ©DEPP), il est vite apparu au ministère qu’il fallait réintroduire plus de Mathématiques dans le programme suivi par les lycéens.

    Il a donc été décidé d’ajouter une heure et demie de Mathématiques au programme de Première. D’abord facultative en 2022, elle devrait être obligatoire en 2023.

     

    Comment faire des Mathématiques au lycée ?

    Actuellement au lycée, les élèves ont la possibilité de :

    • Ne pas choisir l’enseignement de spécialité Mathématiques en Première et opter pour 1h30 de Mathématiques supplémentaire dans le tronc commun et éventuellement choisir l’option Mathématiques complémentaires en classe de Terminale (en 2023, ce temps supplémentaire devrait devenir intégré au tronc commun pour tous les lycéens).
    • Choisir l’enseignement de spécialité Mathématiques en Première et l’arrêter en Terminale et éventuellement choisir l’option Mathématiques complémentaires pour conserver un enseignement de Mathématiques en classe de Terminale.
    • Conserver l’enseignement de spécialité Mathématiques en Terminale et éventuellement la renforcer avec l’option Mathématiques expertes.

     

    L’enseignement de spécialité Mathématiques

    En Première et en Terminale, le programme se concentre principalement sur l’algèbre et l’analyse (environ 50% du programme). L’accent est en particulier mis sur l’étude des fonctions et des suites, que l’on retrouve constamment dans le supérieur. Le reste du programme porte sur la géométrie, les probabilités et les statistiques, tout en intégrant de plus en plus d’algorithmique.

    L’enseignement de spécialité en Première est adapté à tous les profils puisqu’en Terminale, les élèves pourront choisir des parcours bien différents.

    Selon Renaud Farkoa, professeur de Mathématiques en Terminale, il peut exister une fausse impression de facilité en Première car les exigences doivent être adaptées aux élèves qui ont un niveau hétérogène et ne se destinent pas à la même orientation.

    Il existe en revanche une différence importante entre le niveau de Mathématiques attendu en spécialité entre la Première et la Terminale. L’enseignement de spécialité Mathématiques en Terminale requiert de solides bases de calcul et une véritable appétence pour la matière afin de réussir à franchir le fossé entre les deux années. Découvrez notre Cycle Continu en Première.

    L’exigence de l’enseignement de spécialité Mathématiques nécessite d’obtenir de bons résultats dans la matière dès l’année de Seconde. Avant l’année de Terminale, participez à notre Stage d’été « Spécial Spé Maths de Première ».

     

    Quel profil d’élèves et quelles filières pour cette spécialité ?

    L’enseignement de spécialité Mathématiques s’adresse à des élèves maîtrisant les fondamentaux du programme et pour la spécialité de Terminale, ayant de surcroît un réel goût pour le raisonnement mathématique.

    Elle s’adresse à tous les élèves qui se dirigent vers une filière du supérieur comportant des Mathématiques. Elle est quasi obligatoire pour réussir à intégrer la plupart des classes préparatoires : Classes Préparatoires Scientifiques, ECG et B/L. Si vous envisagez une Prépa Scientifique, inscrivez-vous à nos Stages Trajectoire.

    Dans ces filières, renforcer la spécialité par l’option Mathématiques expertes est souvent également fortement valorisé. En effet, elle approfondit la maîtrise de concepts Mathématiques et, surtout, elle permet d’effectuer une réelle transition avec les exigences en Mathématiques du supérieur : « l’option Mathématiques expertes est une véritable porte d’entrée vers le supérieur, en étudiant notamment des notions comme les nombres complexes ou le calcul matriciel, qui y feront leur apparition » souligne R. Farkoa.

    Au-delà, l’exigence de cette spécialité est reconnue par toutes les filières et être très bon en Mathématiques est particulièrement valorisé dans la sélection des dossiers. Ainsi, il n’est pas rare que des élèves suivant un parcours en Mathématiques s’orientent finalement vers des études plutôt littéraires, ou ne nécessitant pas explicitement la maîtrise de concepts Mathématiques : Sciences Po, prépa A/L…

     

    Les clés de la réussite

    • Connaître son cours sur le bout des doigts

    Selon R. Farkoa, les élèves doivent comprendre le plus tôt possible que les cours de Mathématiques doivent être appris par cœur, de la même manière que l’on apprendrait un cours d’Histoire. Il s’agit de les ficher et de connaître parfaitement les définitions et les formules afin d’être en mesure de les appliquer correctement.

    Il faut donc commencer dès que possible à apprendre son cours en profondeur.

     

    • Savoir rédiger une copie de Mathématiques

    Trop souvent négligées en Mathématiques, la clarté de la présentation et la rédaction sont des éléments discriminants dans une copie. Elles font partie du barème et un grand nombre de points y sont attachés, même dans le cadre des concours les plus prestigieux.

    Si les résultats ne sont pas lisibles, ils ne sont pas comptabilisés. Il en va de même avec l’orthographe : les correcteurs portent une attention particulière à la précision de la langue.

    Apprendre ce code est un investissement pour toute la scolarité et est vital pour réussir dans cette matière.

     

    • S’entraîner aux calculs

    Selon R. Farkoa, le niveau d’un élève en Mathématiques dépend en grande partie du volume horaire qu’il leur consacre. Atteindre l’excellence en Mathématiques nécessite de répéter des exercices calculatoires qui permettent d’appliquer et de maîtriser les concepts vus en classe.

    Une tendance de fond privilégie les problèmes ouverts et la réflexion Mathématique, accordant moins de temps en classe aux exercices calculatoires pourtant nécessaires. Dès lors, l’élève doit s’appliquer à cet entraînement régulier, véritable geste à cultiver avant de s’essayer à des exercices plus exigeants.

     

    En conclusion, même si des Mathématiques ont été réintroduites dans le programme de chaque lycéen, la situation devrait encore évoluer pour répondre aux besoins des futurs métiers. Les experts se mobilisent pour faire des propositions adaptées. L’UPS (Union des Professeurs de classes préparatoires Scientifiques) propose quelques pistes pour améliorer l’enseignement des Mathématiques au lycée. Le Hcéres (Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur) a par ailleurs publié une synthèse nationale et de prospective sur les Mathématiques. Cette synthèse dresse un état des lieux des Mathématiques en France aujourd’hui et propose la mise en place d’un programme national pour les Mathématiques à l’horizon 2030. Le communiqué accompagnant cette synthèse précise que « la société, l’économie, l’industrie et les autres sciences ont besoin de plus de mathématiciens et de plus de possibilités d’interactions pour répondre à des besoins fortement croissants ».

    Il s’agit de maintenir le rang des Mathématiques françaises au niveau international et de répondre entre autres aux besoins économiques, défis écologiques et aux enjeux sociétaux.

    Le risque est ni plus ni moins de ne pas disposer des compétences nécessaires pour adapter notre société aux exigences du futur.



    5 raisons de suivre un stage de découverte de l’intelligence artificielle dès le Lycée

    L’intelligence artificielle est devenue un domaine de plus en plus important dans notre vie de tous les jours, avec des applications dans de nombreux secteurs, allant de la reconnaissance vocale à la conduite autonome en passant par la santé. Si vous êtes lycéen et que vous vous intéressez à l’IA, suivre un stage certifiant de découverte de l’IA peut être un moyen idéal de découvrir les fondements de cette technologie disruptive. Voici 5 raisons de suivre un stage de découverte de l’IA pour les lycéens qui s’intéressent aux technologies de demain et aspirent à intégrer les meilleurs formations scientifiques françaises.

     

    1. Acquérir des connaissances et des compétences précises en IA bien au-delà des savoirs généraux du lycée

    Une première raison de suivre un stage de découverte d’intelligence artificielle est de vous faire une idée plus concrète de l’intelligence artificielle aujourd’hui, au-delà des généralités qu’on peut lire dans la presse ou sur internet.

    Nos stages de découverte de l’IA sont animés par des spécialistes, issus du prestigieux master MVA (Mathématiques, Vision, Apprentissage) de l’école normale supérieure. Ils vous permettront d’acquérir des connaissances et des compétences précises en intelligence artificielle, allant bien au-delà des savoir-faire généraux du lycée comme par exemple les notions d’apprentissage automatique, de programmation, ou encore de traitement du langage naturel. Nos stages de découverte ont à la fois

      • une dimension culturelle (histoire de l’IA, enjeux éthiques et défis, métiers de l’IA)
      • une dimension mathématique (fondements de l’IA, outils mathématiques de l’IA)
      • et une dimension pratique (notions de programmation et programmation effective d’une IA)

     

    2. Affiner vos choix d’orientation entre différentes Ecoles d’ingénieurs postbac

    Suivre un stage de découverte de l’IA peut aussi vous aider à affiner un choix d’orientation entre différentes écoles d’ingénieurs post-bac.

    En tant que lycéen il est normal que vous puissiez hésiter entre différentes options de poursuite d’études, en particulier si vous vous intéressez aux écoles d’ingénieur post-bac. Or, contrairement aux écoles d’ingénieur post-classes préparatoires au caractère le plus souvent généraliste (ce qui permet de faire un choix en fonction des classements), les écoles d’ingénieurs post-bac ont souvent une coloration de spécialisation : l’ESTACA dans le transport, l’ECE dans l’électronique, l’ESILV dans les technologies du numérique…

    Un stage de découverte de l’IA peut vous aider à mieux comprendre ce que vous voulez étudier et à vous orienter vers les formations d’ingénieur qui correspondent le mieux à vos intérêts. Au contact de nos professeurs, eux-mêmes spécialistes de l’IA, chercheurs en mathématiques ou en neurosciences, vous pourrez vous faire une idée bien plus précise de ces métiers et des moyens d’y parvenir.

     

    3. Vous démarquer dans les candidatures aux formations scientifiques sélectives

    Une troisième raison de suivre un stage de découverte de l’intelligence artificielle est qu’il peut vous aider à vous démarquer dans les candidatures pour l’admission dans des formations sélectives scientifiques. Si vous êtes intéressé(e) par des écoles d’ingénieurs postbac, suivre un stage de découverte de l’IA peut vous aider à crédibiliser votre candidature. Les contacts réguliers que nous avons avec des directions et directions des admissions de Grandes Ecoles d’ingénieurs post-bac sélectives, comme l’ESILV par exemple, le démontrent : un candidat qui aura démontré (par la poursuite d’un stage et l’obtention d’une certification ad hoc) son intérêt marqué pour l’IA en amont pourra le faire valoir dans son dossier de candidature.

    Vous le savez, les stages d’Ipesup en intelligence artificielle sont effectués en partenariat avec l’IBM Academic Initiative. Nos élèves peuvent ainsi passer le badge certifiant « AI Foundations » à l’issue de leur formation. Ce badge peut d’ailleurs être valorisé directement dans Parcoursup : c’est une preuve tangible que vous avez pris l’initiative de vous initier à cette technologie en dehors de votre cursus scolaire et que vous êtes motivé à en apprendre davantage.

     

    4. Découvrir l’univers de la recherche fondamentale en IA

    Une raison moins évidente du stage, et pourtant très intéressante pour des lycéens, est qu’il permet de découvrir l’univers de la recherche fondamentale, et comment cette recherche fondamentale en mathématique nourrit aujourd’hui des projets d’intelligence artificielle. On parle souvent des applications de l’IA, mais les praticiens de l’IA sont avant tout des ingénieurs, et, pour nombre d’entre eux, des chercheurs. Or, on connaît très mal cette branche professionnelle lorsqu’on est au lycée.

    L’image d’Epinal du chercheur qui, tel Andrew Wiles dans sa quête de la démonstration du théorème de Fermat, mène des années durant des travaux solitaires et secrets et bien éloignée de la réalité du monde de la science d’aujourd’hui. On le voit à travers des initiatives nombreuses au coeur du système d’enseignement supérieur français : la recherche est devenue une affaire collective.

    Par exemple, Hi!Paris (émanation conjointe d’HEC et Polytechnique soutenant la recherche et l’enseignement en intelligence artificielle) organise des hackatons, des symposiums IA ou encore des Summer Schools dédiés aux étudiants de Master et de PhD en intelligence artificielle, où les étudiants et les chercheurs échangent sur les toutes dernières innovations en matière d’intelligence artificielle.

     

    5. Apprendre à programmer effectivement une IA !

    Un des objectifs de nos stages de découvertes de l’intelligence artificielle est de vous aider à apprendre à programmer effectivement une intelligence artificielle ! Il est aisé d’utiliser des outils déjà « tout faits » (Chat-GPT3 étant l’exemple le plus vulgarisé en ce moment dans les médias)… apprendre à programmer soi-même une IA est une toute autre histoire !

    Si cet objectif peut apparaître ambitieux, il n’est pas hors d’atteinte pour des lycéens dès lors qu’ils bénéficient de l’encadrement et du coaching de nos professeurs. En effet, s’il est indispensable d’acquérir des bases de programmation pour pouvoir coder une IA (ce que le stage apporte), de nombreux travaux de recherche exploitent des bibliothèques de codes déjà écrites qu’il s’agit d’assembler de faire fonctionner de manière intelligente. Les lycéens souhaitant aller plus loin pourront d’ailleurs poursuivre leur apprentissage pratique avec le stage d’application pratique (stage d’été).

     

    Stages Ipesup de découverte de l’intelligence artificielle

    Nous proposons plusieurs formules de préparation : stages de découverte certifiants (Toussaint, Noël ou Février), stage d’application pratique (stage d’été au mois d’août) ou cycle complet de deux stages permettant de combiner les deux stages qui précèdent de manière séquencée.



    Écoles de commerce : Prépa ou pas ?

    Depuis près d’une dizaine d’années, les écoles post-bac de commerce tendent à s’imposer comme une option crédible face aux Grandes Écoles. L’orientation vers une école post-bac permet de confronter les étudiants aux disciplines en rapport direct avec les débouchés professionnels auxquels ils peuvent aspirer, de même qu’à une ouverture à l’international.

    Les Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE), quant à elle, souffrent d’une image élitiste. Certains étudiants « s’auto-censurent » pensant que les Classes Préparatoires ne sont destinées qu’à une petite catégorie « privilégiée » d’élèves.

    Ainsi, en moyenne, près de 50% des lycéens en voie Générale formule des vœux de licences, alors que « seulement » 10 % candidatent en Classes Préparatoires (lire la note Flash du SIES – Parcoursup 2022).

     

    Alors quel choix faire : prépa ou pas ?

    Quel que soit votre choix, chaque filière demande une préparation dès le lycée.

     

    Accéder à une école de commerce post-bac

    La majorité des écoles de commerce post-bac recrute sur concours.

    Les modalités de ces concours sont très spécifiques, aussi bien sur le fond que sur la forme, et totalement nouvelles pour un lycéen. La plupart des sujets sont sous forme de QCM et certains portent sur des méthodes qui ne sont pas abordées au lycée comme les épreuves de Synthèse, de logique Mathématique ou encore de Culture Générale. Dans ce contexte, la distinction se fait très nettement entre les élèves qui suivent une préparation spécifique durant leur année de Terminale et les autres. Ce type d’orientation demande donc de faire des choix très tôt dans son parcours scolaire et un investissement tout particulier durant la dernière année de lycée.

    Les deux principales banques de concours sont : SESAME et ACCÈS.

    On y retrouve en particulier des formations spécifiques proposées par les Grandes Écoles de Commerce : le Global BBA ESSEC Business School ou le BBA EM Lyon par exemple.

    Ces concours sont sélectifs pour les écoles les plus cotées (IÉSEG, BBA ESSEC, EMLV, ESSCA…) avec des taux d’admission d’environ 12% à 15% qui même avec les candidatures multiples et les désistements restent de l’ordre de 20 à 25%.

    D’autres formations, comme le BBA EDHEC, le Bachelor de l’ESCP ou encore le Bachelor proposé par KEDGE Business School, ne nécessitent pas le passage de concours avec des épreuves écrites. Les candidats sont recrutés après l’analyse de leur dossier scolaire (notes, moyennes et appréciations) et le passage d’un ou plusieurs entretiens, notamment de motivation et d’anglais.

    A noter que, certaines de ces formations, requièrent une attestation du niveau d’anglais du candidat (score minimum au TOEFL, à l’IELTS ou à la Certification Cambridge).

    Pour en savoir plus : https://www.ipesup.fr/ecoles-de-commerce-post-bac-offre-bachelor

     

    Choix des enseignements de spécialité

    La réforme du lycée n’a pas eu d’impact sur la « stratégie » à adopter en vue de la préparation des épreuves SESAME. Il est donc conseillé aux élèves d’effectuer leurs choix d’enseignements de spécialité et d’options selon leurs affinités personnelles, tout en gardant à l’esprit que les candidats seront sélectionnés sur leur culture générale et leur maîtrise de langues étrangères.

    Cependant, le concours ACCÈS comportant une épreuve de Mathématiques, il est particulièrement recommandé aux élèves souhaitant présenter ce concours de choisir l’enseignement de spécialité Mathématiques au moins en Première et l’option Maths complémentaires en Terminale. D’autant plus qu’il est expliqué dans la description des épreuves que « le candidat devra démontrer sa maîtrise des outils faisant partie du programme de Mathématiques des filières générales du Baccalauréat ».

    L’épreuve d’ouverture culturelle peut inciter les élèves à choisir au moins un Enseignement de Spécialité en Histoire, SES ou Humanités. Dans tous les cas, il est judicieux d’enrichir sa Culture Générale à travers des activités extrascolaires afin de se préparer au mieux à ce type d’épreuve.

     

    Pourquoi s’engager dans une Classe Préparatoire ?

    La Classe Préparatoire permet chaque année à de nombreux élèves d’accéder aux Grandes Écoles à l’issue d’une préparation rigoureuse et minutieuse d’épreuves écrites et orales, durant deux voire trois années. Cette orientation est ouverte à tous les lycéens, pourvu qu’ils soient studieux, et ne doit pas être confondue avec une voie élitiste fermée.

    Mêlant rigueur intellectuelle et exigence, la Classe Préparatoire forge des qualités valorisées dans le monde professionnel. Tout préparationnaire, quelle que soit la filière choisie, apprend à apprendre : il apprend à intégrer un volume très important de connaissances tout en apprenant à les ordonner, à problématiser, à structurer sa pensée… Dès lors, la Classe Préparatoire nécessite également d’apprendre à gérer les priorités, toutes les attentes ne pouvant pas, en réalité, être satisfaites.

    Les concours en fin de deuxième année mettent chaque étudiant sur un pied d’égalité.

    Chacun peut réussir !

     

    En cas de réorientation, la Classe Préparatoire offre des équivalences dans des formations universitaires, en validant les 60 crédits ECTS par année. Ainsi, la Prépa est loin d’être un choix risqué, dépendant uniquement de sa performance au concours.

     

    Concrètement, la Classe Préparatoire HEC ECG est une formation pluridisciplinaire et exigeante de deux ans, menant aux concours d’entrée aux Grandes Écoles de Commerce et de Management. Ces dernières, offrant un nombre de places croissant, recherchent des profils d’étudiants à l’aise dans des matières variées (Mathématiques, Sciences Économiques et Sociales ou Histoire, Géographie et Géopolitique, Humanités et Langues), capables de comprendre et d’appréhender les évolutions du monde contemporain.

    Le cursus de cette Classe Préparatoire propose un socle commun de formation associé à deux enseignements électifs. L’étudiant choisit entre deux niveaux de mathématiques: « Mathématiques approfondies » et « Mathématiques appliquées », et entre deux disciplines en sciences humaines et sociales : « Économie, Sociologie et Histoire » (ESH) et « Histoire, Géographie et Géopolitique » (HGG).

    Il sera donc possible de choisir entre quatre combinaisons possibles d’enseignements. Dans la pratique, les Classes Préparatoires n’offrent pas la totalité des combinaisons. Il faudra bien vérifier les spécificités de l’offre des Classes Préparatoires avant de renseigner vos voeux sur Parcoursup.

    Ipesup vous accompagne.

     

    A l’issue de deux années de préparation, les étudiants ont la possibilité de s’inscrire à une ou deux banques d’épreuves payantes pour les non-boursiers : la BCE (Banque Commune d’Epreuves) et Ecricome.

    Lire aussi notre article sur le calendrier de la BCE en 2023.

     

    Choix des enseignements de spécialité

    Pour accéder à cette filière largement demandée, l’Enseignement de Spécialité Mathématiques est la matière qu’il est indispensable de conserver en classe de Première comme en Terminale.

    En classe de Première, l’élève devra donc choisir l’enseignement de spécialité (ES) Mathématiques ainsi que deux autres enseignements de spécialité de son choix.

    En classe de Terminale, il est vivement conseillé que l’élève conserve l’enseignement de spécialité Mathématiques, qu’il peut renforcer avec l’option Mathématiques expertes, afin de s’assurer d’avoir un bon – voire excellent – niveau en arrivant en Classe Préparatoire.

    En dehors de cette recommandation, les choix de spécialité sont libres.

    Si vous ne savez pas encore si vous choisirez une Classe Préparatoire HEC ECG ou une école de commerce post-bac, mieux vaut conserver les Mathématiques jusqu’en Terminale afin de ne pas vous fermer de portes et surtout, il faut bien se préparer dès l’année de Terminale.

     

    Pour se préparer à la Classe Préparatoire HEC ECG, notre cycle de stages Trajectoire Prépa HEC est particulièrement adapté.

    Pour préparer les concours des écoles post-bac, nous proposons un cycle continu en présentiel ou à distance ainsi que des stages intensifs.

     

    En conclusion, le choix de s’engager dans une classe préparatoire ou d’opter pour une école de commerce post-bac est révélateur d’une personnalité. Il faut donc (comme dans tout choix d’orientation) bien se connaitre et ne pas se sous-estimer ou choisir le confort et la facilité.



    Dates DEC 2023

    Les dates du DEC (diplôme d’expertise comptable) sont disponibles pour l’édition 2023 ! Comme chaque année, deux sessions sont organisées, l’une en mai et l’autre en novembre.

     

    Calendrier du DEC 2023 : deux sessions

    Dates DEC 2023 – Session de mai 2023

    Retrouvez ci-dessous les dates clés du DEC 2023 pour la session de mai 202.

    EvénementCalendrier DEC 2023 – session de mai 2023
    Ouverture des inscriptions au DECMardi 10 janvier 2023
    Fermeture des inscriptions au DECMardi 28 février 2023
    Epreuve de déontologieMercredi 10 mai 2023 (10h30-11h30)
    Epreuve de révisionMercredi 10 mai 2023 (14h00-18h30)
    OrauxDu 2 au 17 mai 2023
    Jury nationalJeudi 29 juin 2023
    Publication des résultatsVendredi 30 juin 2023

     

    Dates DEC 2023 – Session de novembre 2023

    Retrouvez ci-dessous les dates clés du DEC 2023 pour la session de novembre 2023

    EvénementCalendrier DEC 2023 – session de novembre 2023
    Ouverture des inscriptions au DECLundi 10 juillet 2023
    Fermeture des inscriptions au DECJeudi 31 août 2023
    Epreuve de déontologieMardi 14 novembre 2023 (10h30-11h30)
    Epreuve de révisionMardi 14 novembre 2023 (14h00-18h30)
    OrauxDu 13 novembre au 1er décembre 2023
    Jury nationalJeudi 11 janvier 2024
    Publication des résultatsVendredi 12 janvier 2024

    Retrouvez également ici le calendrier officiel du DEC pour l’édition 2023 avec l’ensemble des dates clés du DEC (y compris pour la VAE).

     

    Modalités d’inscription au DEC 2023

    Les candidat.e.s au DEC doivent créer un compte sur la plateforme nationale Inscritnet PRO. Les frais d’inscription s’élèvent à 50 € par épreuve. Les dossiers d’inscription au DEC doivent être envoyés par voie électronique. Les candidats recevront leur convocation quelques semaines avant le début des épreuves.

     

    Préparez le DEC avec les experts d’Ipesup

    Le DEC (diplôme d’expertise comptable) constitue la suite du DSCG. Il suppose notamment la rédaction et la soutenance d’un mémoire. Seule l’obtention de ce diplôme permet de se prévaloir du titre d’expert comptable aujourd’hui.

    Ipesup assure une préparation de haut niveau  du diplôme d’expertise comptable avec des professeurs experts-comptables reconnus (Sabrina Sabbah Pagès, Fabrice Heuvrard), parfaitement au fait de l’évolution du diplôme et des attentes du jury…