Sortie en librairies du manuel « Intégrer une Ecole de journalisme » le 23 mai

Eric DUQUESNOY, ancien élève de l’école normale supérieure et diplômé de Sciences Po, Directeur-fondateur de la prépa Journalisme d’IPESUP, et Fabrice PICON, Directeur de la School of English d’IPESUP et professeur d’anglais à Paris-Jussieu cosignent le livre Intégrer une Ecole de journalisme paru aujourd’hui aux éditions Ellipses.

blank

Présentation de l’ouvrage

Les 14 écoles reconnues par la profession sont les meilleures voies d’accès au métier de journaliste dans toutes ses dimensions actuelles. Ces écoles sont difficiles à atteindre et le taux général de réussite ne dépasse pas les 10 % par rapport au nombre de candidats. Les étudiants sont désarçonnés par une procédure qui mélange les exigences d’un dossier de motivation approfondi et des épreuves d’écriture journalistique que les étudiants n’ont jamais connues auparavant. Le livre propose :

  • Un descriptif détaillé de chaque école avec présentation détaillée des différentes procédures d’admission.
  • Les clefs d’une approche réussie dans des domaines aussi variés que la géopolitique, les médias, l’histoire du sport…
  • Des exemples de questions récurrentes et des conseils pour bien maîtriser les oraux.
  • Des questionnaires corrigés pour s’entrainer sur les questions d’actualité.

Il souligne aussi la nécessité d’un travail personnel tourné vers le journalisme et non plus vers les diplômes universitaires classiques.

Le livre s’adresse à ceux qui veulent devenir journalistes. Il peut aussi intéresser ceux qui veulent en savoir plus sur les médias et sur le métier d’informer.

La prépa Journalisme d’IPESUP, une référence depuis 1991

Depuis plus de 25 ans, Ipesup propose une préparation aux concours des Grandes Ecoles de journalisme, soit sous forme de cycle annuel, soit sous forme de stages intensifs de vacances, avec dans tous les cas l’accès à la préparation aux oraux. Voici 10 raisons de suivre la préparation journalisme

  1. Une préparation professionnelle tournée depuis plus de 25 ans vers le métier de journaliste, créée et animée par Éric Duquesnoy, ancien élève de l’École normale supérieure et diplômé de l’IEP Paris, spécialiste de géopolitique et auteur de nombreux articles sur le sujet
  2. Un taux de réussite aux 14 écoles reconnues par la profession de 74%, bien au-dessus du taux de réussite national de 11%
  3. Des professeurs pour la plupart anciens élèves des Écoles de journalisme, très bien informés sur le métier lui-même et les épreuves proposées dans le cadre des concours
  4. Un encadrement personnalisé et un vrai dialogue avec les étudiants pour les aider à renforcer leur crédibilité professionnelle devant les jurys d’admission
  5. Une préparation efficace aux écoles reconnues par la profession et en particulier à celles du top-7 (top-9 en incluant notre préparation spécifique à l’oral d’admission au Master de journalisme de l’IEP Paris et également à l’EJ Toulouse)
  6. Une aide pour les étudiants qui n’ont pas encore fait de stage dans un média à en trouver un pour renforcer leur crédibilité face aux jurys des entretiens de motivation
  7. Une assistance pour les étudiants pour remplir leur dossier d’inscription, et rédiger leur CV et leur projet professionnel par échange de mails et par rendez-vous individuels
  8. NOUVEAU depuis 2023 : un cycle de conférences d’actualité sur les Grands Enjeux du monde contemporain animés par les meilleurs spécialistes des questions d’actualité économique, géopolitique et politique
  9. Des quiz d’actualité interactifs à chaque session suivis de séances d’analyse approfondies, complétées par des cours d’anglais, des cours et ateliers de rédaction
  10. Une prépa à taille humaine, accessible en présentiel, en « live » à distance et en replay avec une attention portée à chaque étudiant


  • Sortie en librairies du manuel "Intégrer une Ecole de journalisme" le 23 mai
  • Les matières de la Prépa ECG : Les langues vivantes

    De même qu’au lycée, les étudiants de Classe Préparatoire HEC ECG devront choisir deux langues vivantes pour les épreuves du concours : une langue vivante A (LV A) et une langue vivante B (LV B).

    Les coefficients des épreuves écrites sont très différents d’une école à l’autre. La plupart du temps, elles sont respectivement coefficient 4 et 2 (ou 3) mais certaines écoles n’hésitent pas à faire peser ces disciplines dans leurs coefficients. SKEMA BS impose, par exemple, un coefficient 6 (sur 30) à l’épreuve de LVA et un coefficient de 5 (sur 30) à l’épreuve de LVB. Plus d’un tiers des coefficients repose donc sur les langues vivantes.

    Le travail de ces matières n’est donc pas négligeable. En effet, malgré le faible poids des coefficients dans certaines écoles, trop d’étudiants sont malheureusement surpris par leurs résultats au concours du fait d’une mauvaise note en langues vivantes.

    Quelles sont les différences entre le lycée et la Classe Préparatoire dans l’étude des langues vivantes ? Quels intérêts peut-on trouver à l’apprentissage de ces langues ? En quoi constituent les épreuves ?

    Pour rappel, au concours, les étudiants peuvent choisir, comme LVA entre l’Anglais, l’Allemand, l’Espagnol, l’Arabe littéral, l’Italien, le Portugais et le Russe.

    Pour leur LVB, ils ont le choix entre l’Allemand, l’Anglais, l’Arabe littéral, le Chinois, l’Espagnol, l’Hébreu, l’Italien, le Japonais, le Portugais, le Polonais et le Russe.

     

    L’intérêt de la matière

    De manière générale, l’étude d’une langue étrangère présente des intérêts à plusieurs niveaux.

    Le premier étant la communication. Les élèves de Classes Préparatoires qui intégreront une École de Commerce seront amenés à faire l’expérience de l’international, aussi bien avec des étudiants en échange sur leur campus ou sur des campus étrangers que dans leur vie professionnelle. Étudier des langues en Classe Préparatoire est donc un moyen d’acquérir des compétences linguistiques pour pouvoir échanger dans une autre langue que le français.

    D’un point de vue purement culturel, l’étude d’une langue étrangère permet de se plonger dans un univers totalement différent du sien. L’apprentissage d’une langue permet ainsi de mieux cerner la culture d’un pays étranger.

    Enfin, intellectuellement parlant, l’apprentissage d’une langue nécessite de changer volontairement de référentiels par l’apprentissage d’un vocabulaire nouveau et d’une grammaire et d’une conjugaison nouvelles.

    En somme, l’enseignement des langues étrangères participe à l’éveil intellectuel et culturel des futurs décideurs de demain.

     

    Le programme et les épreuves

    À l’écrit

    La particularité de l’enseignement des langues vivantes et qu’il n’a pas de programme, ou presque pas. Les professeurs de langues ont pour but de préparer les étudiants aux exercices demandés au concours des Grandes Écoles, à savoir un thème grammatical (traduction du Français vers la langue cible) et, un résumé comparatif analytique et un essai argumenté. Ces exercices comptent respectivement pour 20%, 30% et 50% de la note finale.

    Même si les épreuves de langues ont récemment fait l’objet d’une réforme importante, les exercices restent quasiment les mêmes à l’exception de la version (traduction de la langue cible vers la langue française) qui a disparu des épreuves du concours.

    Ainsi, le premier exercice, le thème grammatical (200 mots en LV A, 150 mots en LV B), nécessite une connaissance riche et précise du vocabulaire, de la grammaire et de la conjugaison de la langue qu’ils apprennent. La difficulté ne réside pas tant dans la traduction que dans la retranscription du texte d’origine dans la langue cible. En effet, au fur et à mesure de leur Classe Préparatoire, les étudiants apprendront d’abord à traduire littéralement le texte, puis à respecter les idiomes et, enfin, à transmettre les mêmes émotions que l’auteur.

    Le rapport sur les Critères et barèmes d’évaluation publié par la BCE stipule même :

    On attend du candidat :

    La capacité à produire une traduction qui reflète clairement une pratique normale de la langue, en évitant, autant que possible, d’être influencé par la syntaxe, les paragraphes, la ponctuation et les formulations du texte original, et qui transmet les points importants, le sens, le ton et les intentions de l’auteur(e) même si la traduction semble maladroite.

    Critères et barèmes d’évaluation LV A et LV B, BCE

     

    Le second et troisième exercice consistent respectivement en un résumé comparatif analytique et un essai argumenté.

    Pour le résumé, les étudiants répondent à une question (en 300 mots en LV A, en 250 mots en LV B) en rapport avec le thème du dossier, lequel est constitué de 2 à 3 textes écrits dans la langue cible et 2 à 4 documents iconographiques. Attention donc à ne pas relever des informations qui dépasseraient le sujet initialement posé.

    L’essai argumenté, lui, consiste en une réponse à un problème posé et en lien avec l’article. L’étudiant doit expliquer clairement le cheminement de son raisonnement écrit en langue cible, en illustrant ses propos par des exemples pertinents tirés de la culture et de la civilisation du ou des pays de la langue en question.

    Le rapport sur les Critères et barèmes d’évaluation publié par la BCE stipule même :

    On attend du candidat :

    Une parfaite compréhension des textes. Une grande capacité à identifier les idées principales évoquées dans les différents documents. Une grande qualité d’expression et de correction linguistiques. Une capacité à communiquer à l’écrit dans une langue riche et précise. Une capacité à présenter un texte parfaitement structuré, avec des arguments clairement distincts, croisés et enrichis d’un apport personnel pertinent, authentique, cohérent et dûment justifié.

    Critères et barèmes d’évaluation LV A et LV B, BCE

     

    À l’oral

    L’épreuve orale se rapproche énormément de la deuxième partie de l’épreuve écrite. L’étudiant a entre 20 et 30 minutes pour lire un article imposé par le jury, identifier les grandes lignes, et ensuite les commenter à partir d’une question qu’il aura lui-même trouvée.

    Cet exercice est très complet. Il mêle vivacité d’esprit et rapidité, compréhension et analyse, culture historique et civilisationnelle, expression et argumentation.

     

    Comment travailler les langues en Classe Préparatoire HEC ECG ?

    Pour le thème, l’apprentissage hebdomadaire de feuilles de vocabulaire est essentiel. Nous recommandons d’utiliser des applications comme Quizlet ou Anqi qui permettent non seulement d’apprendre intelligemment en proposant les mots de vocabulaire sur lesquels une hésitation persiste mais aussi de les apprendre en toutes circonstances, dans les transports notamment.

    L’apprentissage par cœur des verbes irréguliers et des règles de grammaire avec leurs illustrations est un passage obligé.

    En réalité, la façon de noter une traduction est plutôt simple. L’étudiant part avec un capital de 20 points. Ce capital diminue (ou pas) ensuite au fur et à mesure que le correcteur relève des fautes.


    On comprend donc qu’en Classe Préparatoire, on n’apprend pas à parler ou à écrire la langue, on apprend d’abord à ne pas faire de fautes !

    À ce titre, on ne saurait que trop recommander des ouvrages comme Les 365 fautes à éviter disponibles pour plusieurs langues (anglais, allemand, espagnol…).

    Quant aux exercices d’analyse et de commentaire de documents, il faut se confronter à la langue, soit par la lecture de livres, de magazines ou d’articles de presse. Ce travail permet de devenir de plus en plus à l’aise dans la compréhension de la langue mais aussi d’enrichir sa culture personnelle et de mobiliser des exemples issus de l’actualité économique et politique dans ses écrits ou ses oraux. Tenir un journal d’actualités par thématiques ou par pays peut être une bonne idée, par exemple.

    Pour l’oral, on ne saurait que recommander d’écouter des podcasts, la radio etc. dans la langue cible ou de regarder les informations et des séries ou films en version originale (sous-titrés dans la langue originale).

    L’intérêt de l’apprentissage d’une langue n’est plus à démontrer. Il permet de s’ouvrir linguistiquement et culturellement et d’appréhender encore mieux le monde qui nous entoure. Un travail quotidien, à petite dose, d’apprentissage du vocabulaire, de la grammaire et de la conjugaison, d’écoute, de visionnage et de lecture devrait assurer aux étudiants qui s’y tiennent la note maximale aux épreuves écrites et orales du concours.

    À tous ceux qui préparent les concours des écoles de commerce, nous souhaitons toute la réussite possible en 2023.



    La nécessité d’anticiper sa première année de médecine

    La réforme des modalités d’accès aux filières de santé est effective depuis la rentrée 2020-2021.

    Le PASS (Parcours d’Accès Spécifique Santé) ainsi que la L.AS (Licence Accès Santé) forment les nouvelles voies d’admission vers les études de santé (médecine, pharmacie, odontologie, maïeutique et kinésithérapie).

    La réforme a en particulier mis fin au principe du redoublement en première année et au numerus clausus. Le nombre de places est désormais fixé par les territoires en fonction de l’estimation des besoins dans les années à venir (numerus apertus). Cela signifie que les Facultés peuvent faire varier à la marge le nombre d’admis sur avis de l’Agence Régionale de Santé (ARS).

    La fin du numerus clausus ne se traduit pas par un élargissement du nombre de places et un assouplissement de la sélection, les universités n’ayant pas forcément les moyens d’accueillir dans de bonnes conditions un grand nombre d’élèves. Il est à noter que ces dernières années la capacité d’accueil des universités est restée constante pour un nombre de candidats en hausse, entrainant ainsi un renforcement de la sélectivité.

    Il est important de garder à l’esprit que les facultés conservent une marge de manœuvre qui leur est propre dans l’application de la réforme et dans les modalités d’admission.

     

    Deux voies d’admission vers les études de santé

    Le Parcours d’Accès Spécifique Santé (PASS)

    Le PASS peut être considéré comme le remplaçant direct de l’ancienne voie PACES (Première Année Commune aux Etudes de Santé) dans la mesure où il en conserve environ 80% des enseignements. Les facultés n’ont plus l’obligation d’évaluer les étudiants sur des épreuves de QCM mais ce type d’épreuve reste majoritaire. Les candidats ne doivent néanmoins pas négliger le travail de leurs aptitudes rédactionnelles au lycée.

    Des épreuves orales, nouveauté de la réforme, permettant de juger les compétences transverses du candidat ainsi que son projet professionnel font également figure de barrière sélective. Les modalités de ces épreuves orales varient selon les facultés.

    Au cours de cette année, les étudiants doivent par ailleurs suivre et valider, en plus des épreuves du PASS qui correspondent environ à 48 ECTS (exemple de l’Université Paris Cité), une option dont les matières sont extraites des enseignements d’une licence annexe leur permettant de se réorienter en L2 en cas d’échec. Cette mineure compte pour environ 12 crédits ECTS.

    En effet, les étudiants n’ont la possibilité de présenter le PASS qu’à une seule occasion. Les élèves ayant validé leur année (validation de 60 ECTS) mais qui n’ont pas été autorisés à poursuivre en deuxième année d’études de santé, se verront proposer une réorientation vers une L2 d’un parcours universitaire correspondant à la mineure choisie au cours de l’année de PASS. Ainsi, nous recommandons aux étudiants de se limiter dans le choix de leur mineure selon leurs appétences et leur profil dans la mesure où, la sélectivité s’étant accrue, il y a des chances non négligeables de ne pas être admis dans la/les filières de santé de leur choix à l’issue de la première année et donc de devoir continuer en L2 de cette dite option.

    Les profils scientifiques sont donc plutôt invités à choisir une mineure Mathématiques, Physique ou Biologie tandis que les profils plus à l’aise en sciences humaines ont plutôt intérêt à choisir une mineure Droit, Économie… A noter que le choix des mineures varie très largement selon les facultés.

    Les étudiants réorientés à la suite de leur échec au PASS en deuxième année de licence correspondant à leur option de mineure de PASS, auront la possibilité de présenter de nouveau, en fin de L2 ou en fin de L3, un concours spécifique pour intégrer ainsi la deuxième année de médecine.

    Seuls les étudiants pouvant démontrer l’excellence de leur dossier académique, tant lors de leur année de PASS que de leur année de licence de réorientation, pourront prétendre à présenter leur dossier sur cette deuxième tentative. Des épreuves orales pourront là encore départager les meilleurs candidats.

     

    Les Licences Accès Santé (L.AS)

    Un étudiant suivant une Licence Accès Santé peut présenter à l’issue de sa L1 une forme de concours aménagé donnant accès à la deuxième année de Médecine.

    Comme pour la voie de la réorientation, seuls les meilleurs étudiants, tant sur les notes des matières de licence que sur celles de l’option Accès Santé, pourront prétendre à présenter leur dossier. Des épreuves orales pourront là encore départager les candidats.

    En cas d’échec à accéder à la deuxième année de Médecine en fin de L1, l’étudiant pourra à nouveau déposer sa candidature en fin de L2 ou de L3, dans la limite de 2 tentatives et à la condition expresse d’avoir progressé entre ses deux années de licences. Ces candidats se trouveront ainsi en compétition avec les étudiants réorientés en fin de PASS.

    L’ouverture de cette voie reflète la volonté d’ouvrir les portes des études médicales à des profils autres que scientifiques. Il est néanmoins probable que les candidats dans cette voie d’admission soient majoritairement issus de licences scientifiques (principalement Mathématiques, Physique-Chimie ou Biologie).

    blank

    La fin du monopole de la PACES entraîne mécaniquement une dispersion du nombre de places attribuées tout en attirant des candidats supplémentaires qui n’auraient pas nécessairement tenté d’accéder en deuxième année de médecine dans le cadre de la PACES (élèves à profils non scientifiques ou présentant un intérêt pour une autre licence).

    Cette diversification des voies d’accès associée à la limitation du PASS à seulement 50% à 70% des places ouvertes en deuxième année a pour conséquence une augmentation du nombre de candidats associée à une diminution du nombre de places dans chacune des voies permettant d’accéder à la deuxième année ; la sélectivité de la filière s’en trouve ainsi accrue.

     

    Quelle stratégie adopter ?

    Concernant le choix de la voie d’accès, le PASS demeure la voie la plus sûre et conventionnelle, a fortiori pour un lycéen à profil à dominante scientifique et sûr de son choix d’orientation.

    Néanmoins, un étudiant brillant en Mathématiques pourrait se laisser porter vers une LAS dans cette matière et présenter sa candidature d’accès en deuxième année d’études de santé en étant principalement évalué sur sa matière forte. De même, un élève hésitant sur son orientation ou ayant abandonné les matières scientifiques au lycée aura la possibilité d’intégrer une licence accès santé en lien avec ses appétences.

    Concernant les choix d’enseignement de spécialité, aucune directive précise n’a en revanche pour le moment été donnée par les doyens de facultés qui affirment regarder la qualité du dossier et non spécifiquement les matières suivies au lycée.

    Pour un élève s’orientant vers le PASS, deux combinaisons de spécialités s’offrent à lui. La première est de suivre les enseignements de spécialité Physique-Chimie, associés à ceux de SVT. De nombreuses notions de Mathématiques étant également indispensables à la réussite, le choix de l’option Mathématiques complémentaires est incontournable. La deuxième combinaison possible pour un élève très à l’aise en Mathématiques est de maintenir cette spécialité en complément des enseignements de Physique-Chimie.De nombreuses notions de Mathématiques étant également indispensables à la réussite, le choix de l’option Mathématiques complémentaires est incontournable. S’il le souhaite, un élève très à l’aise en Mathématiques pourra maintenir cette spécialité en complément des enseignements de Physique-Chimie. Logiquement, ces trois enseignements de spécialité (Physique-Chimie, SVT et Mathématiques) devront avoir été suivis au cours de l’année de Première. Il est important de se renseigner sur la typologie des universités. En effet, certaines universités sont considérées à dominante calculatoire, c’est-à-dire mettant l’accent sur les matières scientifiques par rapports aux matières médicales. Pour cette typologie d’université la place des Mathématiques est importante et avoir gardé cette spécialité peut-être un réel avantage.

    Un élève s’orientant vers une Licence Accès Santé pourra quant à lui choisir des matières pour lesquelles il aurait un intérêt personnel et où il pourrait maximiser ses notes et donc l’attractivité de son dossier dans Parcoursup, tout en acquérant des bases qui lui seront utiles au cours de son année de licence.

     

    Une préparation indispensable

    La fin du redoublement et le maintien de la sélectivité avance d’un an la décision personnelle d’orientation vers Médecine. En effet, le concours se préparant de manière beaucoup plus intensive en première année, il est important de se préparer dès l’année de Terminale, voire dès l’année de Première pour des étudiants souhaitant maximiser leurs chances de passage direct en deuxième année de Médecine.

    Les élèves devront en effet dès la Seconde, mûrir leurs choix d’orientation vers Médecine pour adapter leur stratégie et établir un programme de préparation cohérent.

     

    Anticiper dès son année de Première

    Anticiper dès l’année de Première a pour objectif premier de maximiser ses notes au lycée par un accompagnement complet sur le programme des trois spécialités scientifiques de Première (Physique-Chimie, SVT et Mathématiques). S’assurer d’excellents résultats dans les matières clés de la première année de médecine permet de renforcer son dossier Parcoursup, première barrière pour l’entrée dans l’université de son choix.

    Une préparation durant son année de Première permet également d’adopter une méthode de travail performante. Adopter le plus tôt possible une méthodologie adaptée à l’apprentissage des enseignements scientifiques ne pourra qu’être un atout pour la suite de son cursus en Terminale et en première année de médecine. Enfin, commencer une préparation dès son année de Première permet de découvrir l’univers de la première année de médecine grâce aux applications médicales en lien avec les notions scientifiques enseignées. Comprendre les applications dans le monde médical des notions fondamentales enseignées, constitue une étape clé dans la projection du lycéen dans son futur projet professionnel. Il s’agit donc aussi d’affiner son souhait d’intégration dans l’une ou l’autre filière d’étude de santé (Médecine, Pharmacie, Odontologie, Maïeutique ou Kinésithérapie).

     Pour cela, Ipesup propose un cycle de stages intensifs planifiés pendant les vacances scolaires (en présentiel ou à distance) à partir de février 2024 pour commencer à travailler les contenus académiques du lycée en lien avec les notions développées dans les études de santé (Physique, Chimie, SVT, Outils mathématiques et Anglais scientifique).

    • Deux stages d’anticipation, durant les vacances d’Hiver et de Printemps, s’appuyant sur les notions académiques du programme de Première afin d’anticiper celles de l’année de Terminale nécessaires aux futures études de santé.

    Un stage comprend 24h de préparation aux matières Physique, Chimie, SVT, Mathématique et Anglais.

    • Un stage Passerelle, fin août, pour commencer à travailler les contenus académiques de Terminale en lien avec les notions développées dans les études de santé.

    Ce stage comprend 24h de préparation aux matières Physique, Chimie, Mathématiques et Statistiques.

     

    Pour en savoir plus 

     

    Anticiper en classe de Terminale

    Environ 80% du contenu des unités d’enseignement de PASS et de l’option accès Santé des LAS est identique quel que soit l’université où l’on se trouve en France. Ce contenu peut donc être anticipé avant même l’entrée dans l’université de son choix. L’assimilation de ce contenu est l’objectif premier d’une anticipation en classe de Terminale par l’enseignement des principales matières de première année de médecine :

    • Les matières « Biologiques » (Biochimie, Biologie cellulaire, Anatomie…) principalement descriptives sont très volumineuses mais peuvent être abordées sans pré-requis dès l’année de Terminale. Le volume de connaissances à assimiler pour ces matières est très dense et nécessite une méthodologie d’apprentissage stricte que l’élève va apprendre à s’approprier.
    • Les matières « Scientifiques » (Physique, Chimie, Mathématiques/Statistiques) nécessitant des étapes de raisonnements et de calculs doivent être travaillées spécifiquement le plus tôt possible pour permettre leur parfaite assimilation lors de la première année des études de santé. L’entrainement continu permettra à l’élève de développer des mécanismes de résolution efficaces.

    L’accompagnent dans ces matières scientifiques a également pour objectif de se constituer un excellent dossier Parcoursup, notamment en réussissant les épreuves de spécialités scientifiques du baccalauréat organisées au mois de mars.

     

    Les QCM des épreuves écrites du concours d’accès en deuxième année d’études de santé est un format original pour les lycéens, c’est pourquoi des exercices d’application sous forme de QCM sont systématiquement proposés en fin de chapitre. Les sessions de concours bancs à chaque fin de stage sont aussi proposées afin de permettre aux élèves de se mettre en situation d’examen. Ces évaluations régulières ont pour double objectif de valider les acquis de l’élève et de s’entrainer sur la méthodologie à appliquer aux QCM.

    Face à l’apprentissage d’une quantité importante de notions durant les stages d’anticipation, l’élève doit s’approprier une méthodologie de travail efficace. La mise en application de cette méthodologie de travail avant même l’entrée à l’université constitue un point majeur pour être prêt dès les premiers jours d’entrée en études de médecine. Plus la méthodologie de travail sera efficace et moins la différence entre le rythme du lycée et le rythme de la première année de santé sera important. Cette méthodologie de travail s’apprend et s’adapte pour que chaque élève acquière celle qui lui correspond le mieux.

    L’anticipation du contenu scientifique, de la méthodologie du concours et de la mise en place d’une méthodologie de travail, aide à prendre confiance en soi par l’acquisition d’une avance significative sur les autres candidats.

    Au-delà d’anticiper le programme de la première année, être accompagné durant son année de Terminale, permet d’affiner son choix de vœux sur Parcoursup (choix de la voie d’accès, choix de mineurs, choix de facultés, …) grâce aux échanges personnalisés avec une équipe dédiée.

    Enfin, anticiper c’est décider de mettre toutes les chances de son côté pour réussir, dès sa première tentative, l’accès à la filière de santé de son choix.

     

    Pour cela, Ipesup vous propose un cycle de stages intensifs planifiés pendant les vacances scolaires (en présentiel ou à distance) qui constitue une formation complète pour anticiper spécifiquement les notions de la première année d’études de santé :

    • Stage de Toussaint : 20h de cours et concours blancs en Biophysique et Biomathématiques (Module S1)
    • Stage de Noël : 20h de cours et concours blancs en Chimie générale et Biologie cellulaire (Module B1 ; possibilité de suivre le module S1 si non suivi à la Toussaint)
    • Stage d’Hiver : 20h de cours et concours blancs en Biophysique et Biostatistiques (Module S2)
    • Stage de Printemps : 20h de cours et concours blancs en Chimie organique et Anatomie (Module B2)
    • Stage Tremplin(début juillet) pour faire la jonction, après les épreuves finales de philosophie et le grand oral du Baccalauréat, entre la fin de l’année de Terminale et l’entrée en première année d’études de santé (PASS ou L.AS). Ce stage de 33h permet réviser avec un rythme soutenu l’ensemble des notions vues dans les stages annuels.

     

    Pour en savoir plus



    Le 3ème trimestre pour les élèves de Terminale au Lycée Ipesup : la mobilisation reste entière.

    Avec le 3ème trimestre de Terminale, tout n’est pas fini, l’aventure de l’orientation lycée continue

    Les vacances de printemps approchent, les élèves de Terminale ont désormais passé leurs épreuves d’enseignements de spécialité et ont finalisé leur dossier Parcoursup. Pour beaucoup, qu’ils soient dans des établissements publics ou privés, la tentation peut être forte de lever le pied et de considérer que la fin d’année ne sera pas significative. Mais l’année est-elle pour autant terminée ?

    Au sein du lycée Ipesup, le 3ème trimestre de Terminale n’est pas un trimestre « blanc », il reste riche de mobilisation de la part de l’ensemble des équipes. Nous profitons au contraire de cette fin d’année pour maintenir le cap et réaffirmons nos valeurs pour maintenir nos élèves de Terminale dans une dynamique productive jusqu’aux dernières épreuves du Baccalauréat et leur départ vers le supérieur.

     

    La présence des enseignants

    Présence des enseignants jusqu’à la fin des cours pour terminer les programmes et consolider les acquis. Il n’est pas question que nos élèves partent vers des études du supérieur sans avoir pu maintenir l’effort des apprentissages indispensables à leur réussite en première année dans le supérieur.

     

    Des effectifs réduits

    Mise à profit des effectifs réduits de la classe (maximum 20 élèves) pour approfondir les notions du programme de Terminale et réviser les dernières épreuves avant le Baccalauréat, en classe entière ou en petits groupes.

     

    Un encadrement bienveillant

    Encadrement bienveillant des élèves pour finaliser le travail entrepris depuis leur arrivée au Lycée Ipesup pour les accompagner sur le chemin de leur orientation, grâce à l’environnement expérimenté d’Ipesup sur le monde des études supérieur : conseils individualisés et renforcement académique particulièrement bénéfiques pour ceux qui souhaitent aller vers des filières exigeantes, mise en place des passerelles vers les CPGE Ipesup (Prépa HEC, Prépa Scientifique, Prépa IEP de Région) dans la continuité de l’année de Terminale, préparation personnalisée pour ceux qui passent les concours d’Écoles Post-bac d’Ingénieurs et Commerce. Cette fin d’année conserve toutes les dimensions de l’enseignement adopté au cours de l’année, au rythme des résultats Parcoursup et des préparations diverses aux entretiens. Être studieux, mobilisé, parfois impatient, solidaire… l’esprit de corps de la classe est indéniable et d’autant plus fort en cette période !

     

    Une préparation aux épreuves de fin d’année

    Préparation des épreuves de fin d’année du Baccalauréat : renforcement des devoirs de Philosophie au 3ème trimestre, ateliers de préparation au Grand Oral, tant sur la méthodologie que via des mises en situation. Plus que jamais au cours de l’année, l’accent sur les « soft-skills » est intégré dans la pédagogie.

    Les enseignants de spécialité se mobilisent tous pour donner des conseils méthodologiques et multiplier les exercices qui conduiront nos élèves à être prêts le jour J : poser sa voix, déclamer, s’entraîner seul ou en groupe, passer devant un public pour vaincre son stress, s’exercer sur des oraux blancs.

     

    Tel est l’esprit de notre lycée : former des esprits ouverts dans un monde ouvert, encourager et soutenir nos élèves avec bienveillance et exigence dans leur parcours académique comme dans leur orientation, se donner mutuellement le meilleur pour les voir épanouis et prêts à suivre leur route… jusqu’au bout.



    Préparez les Oraux des Ecoles de journalisme en mai 2023

    IPESUP propose depuis 1991 une préparation performante aux 14 Ecoles de Journalisme reconnues par la profession sous la direction d’Eric DUQUESNOY (Normalien, agrégé d’histoire, diplômé de Sciences Po). Eric DUQUESNOY, qui assure lui-même l’essentiel des cours et anime l’équipe de professeurs, est également auteur avec Fabrice PICON de l’ouvrage « Intéger une Ecole de journalisme » à paraître en mai/juin 2023 aux éditions Ellipses.

     

    Préparation Journalisme Oraux 2023

    Dates de la préparation

    Vous pouvez rejoindre notre préparation aux oraux des écoles de journalisme dès maintenant et ce jusqu’au 1er juin 2023. Préparations individualisées, jurys blancs de haut niveau : académiques, membres de jury, journalistes… Taux élevé de réussite (plus de 90 % de taux de conversion admis / admissibles en 2022).

    Modalités

    Présentiel ou distanciel au choix.

    Informations et inscription

    Renseignements par email auprès d’Eric DUQUESNOY : e.duquesnoy2405@gmail.com

     

    Préparation Journalisme Ecrits + Oraux 2024

    Notre préparation complète pour les concours 2024 des Ecoles de journalisme sera mise en ligne dans les prochaines semaines.



  • Préparez les Oraux des Ecoles de journalisme en mai 2023